1. Béatrice au parc


    Datte: 23/05/2020, Catégories: Anal Hardcore, Sexe Interracial,

    Je m’appelle Béa ; je vis à Montpellier, j’ai 24 ans, je suis blonde et plutôt mignonne.Un jour, j’ai voulu aller visiter le nouveau Polygone de Béziers.Après en avoir fait le tour et comme il était encore tôt, j’avais garé ma voiture pas loin du jardin qui se trouve entre la gare et les allées Paul Riquet ; je suis allée me promener dans ce jardin, très agréable, avec plusieurs plans d’eau.J’étais habillée légèrement, on était au début de l’été : un caraco blanc qui arrivait juste au-dessus de mon nombril et une jupe très courte en jean.Dès mon entrée dans ce parc, je croisai deux Nord-Africains d’une cinquantaine d’années, plutôt costauds, qui se retournèrent sur mon passage…Je me dirigeai lentement vers un lac où il y avait des canards ; en me retournant, je vis les deux hommes qui s’étaient retournés et qui me suivaient… Je m’immobilisai devant le plan d’eau et regardai les canards ; les hommes vinrent se placer de chaque côté de moi et me sourirent, je leur rendis leur sourire…Puis je me dirigeai, toujours lentement, vers un sentier plus étroit et en pente, plus ombragé. Il faisait chaud et je cherchais un peu d’ombre ; j’avisai un banc, un peu à l’écart, abrité du soleil par les arbres et je m’assis, dévoilant pleinement mes cuisses. Les deux Arabes arrivèrent à leur tour et s’assirent à ma droite et à ma gauche. Ils commencèrent à me draguer, me demandant d’où j’étais, ce que je faisais, me disant qu’ils me trouvaient très jolie, qu’ils aimaient les jeunes filles ...
    ... blondes comme moi… Ils fixaient mes cuisses, mes seins, dont les pointes étaient visibles sous le léger caraco (je ne portais pas de soutif) puis ils commencèrent à me caresser les cheveux, puis mes joues, mon cou…Voyant que je ne protestais pas – bien au contraire, j’appréciais la situation et commençais à sentir une douce chaleur dans mon ventre – je croisais et décroisais mes jambes. Ils me parlaient, me faisaient rire ; je me laissais aller et une main se posa sur mon genou. Moi-même, j’avais posé mes mains sur eux, à mi-cuisses en riant… La main de l’un, du genou remonta sur ma cuisse pendant que l’autre cherchait, en rigolant, à voir mes seins en écartant un peu le haut du caraco. Les deux hommes virent mes seins et les pointes dressées…Me jugeant à point, ils me proposèrent de venir boire le thé chez eux ; ils habitaient à deux pas du jardin. J’hésitai un peu, puis j’acceptai, pour leur plus grand plaisir…Nous nous dirigeâmes vers la sortie, passant devant ma voiture ; ils me dirent de la laisser là, ils habitaient à côté.Effectivement, deux rues après, nous étions devant un vieil immeuble pas très haut et plutôt délabré…Ils poussèrent la porte et je me retrouvai devant un escalier ; l’un des deux me prit par la hanche et me fit monter pendant que l’autre suivait ; je sentais son regard brûlant sur mes fesses, et je me mis à grimper langoureusement en accentuant mon balancement, à droite, à gauche…Nous arrivâmes au deuxième étage. Dans le couloir, une porte s’ouvrit et un ...
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