1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1209)


    Datte: 23/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Marie s’affairait en cuisine quand nos entrâmes, elle s’arrêta net de travailler pour me détailler de la ta tête à la croupe, mon corps étant toujours en quadrupédie : - Mais que vois-je Walter, pourquoi Mademoiselle de Bourbon est-elle ainsi ? - C’est la nouvelle chienne de Monsieur le Marquis, dit le Majordome - Eh bien dit donc, je ne l’aurai jamais imaginé, une bourgeoise pareille de l’aristocratie française ! Mais c’est une bonne idée de Monsieur le Marquis ! Enfin une ‘noble’ chienne racée qui va pourvoir m’aider dans ma cuisine. Aller, la chienne vient me montrer ton corps de salope que je puisse juger de tes capacités. Je m’approchais timidement de la perverse cuisinière et une fois arrivée à son niveau, je me mis directement en position à genoux et baissais les yeux. Je la sentais tourner autour de moi, me jaugeant, me caressant les fesses, remontant jusqu’à mes épaules en passant par le creux de mes reins avec sa main baladeuse et indéniablement vicieuse. - Tu es de bonne composition, la chienne. Ça va être un réel plaisir, pour nous, de te dresser, dit-elle. Viens la chienne me lécher mon minou assoiffé par une bonne langue de salope comme toi, tu es très excitante, la pute ! - Marie, on s’occupera d’elle après, car pour le moment, Monsieur le Marquis veut qu’elle mange à sa faim avec un supplément de vitamines, intervint Walter. - Bien, mais elle ne perd rien pour attendre ! … (puis allant chercher une gamelle bien remplie) … Tiens la chienne et bien entendu, ...
    ... tu mangeras toujours à quatre pattes. Et dépêches-toi, je n’ai pas que ça à faire, il me tarde que tu me lèches, salope ! Marie me servit une espèce de pâtée qui à la vue ne me paraissait pas du tout alléchante mais au goût, c’était tout le contraire, je dirais même que c’était succulent. Alors, je me dépêchais pensant retrouver le Maitre sous le regard de Marie et Walter. Je me sentais humiliée mais aussi très excitée en même temps de devoir manger ainsi à quatre pattes et nue avec mon cul bien exposé... Alors que je terminais ma pâtée, je sentis une main sur mes fesses, puis une deuxième et les deux se dirigèrent sur mes hanches. Ces mains me maintenaient fermement quand je sentis le gland violacé de Walter venir se frotter contre mes lèvres intimes. Mon excitation suffisait largement à ce qu’il me pénètre comme s’il entrait dans du beurre, j’étais si humide que sa verge dressée me baisa aisément de suite très profondément. Le Majordome ne se préoccupait pas de préliminaires et il me besognait sans ménagement, sauvagement. Prise ainsi à quatre pattes, sous ses puissants coups de boutoirs, je relevais la tête quand il me tira une poignée de cheveux en arrière comme on tire une queue de cheval. C’est ainsi la tête relevée que je vis face à mon visage, un sexe de femme, et je compris ce que l’on attendait de moi. Marie la cuisinière me présentait sa chatte à lécher, et en m’empoignant la nuque, elle attira mon visage contre son sexe déjà fort trempé. Besognée par la chatte, ...