Marie amoureuse, on ne la tient plus - Histoires de Sexe

Marie amoureuse, on ne la tient plus

... Ben, il a écrit « je t’aime » et rien que ça, un matin quand j’étais au bureau. J’ai répondu « moi aussi ». Il a renvoyé tout de suite un sms avec « toi aussi… quoi ? ». J’ai juste renouvelé « moi aussi ».— Ah et c’est tout ? Ça s’est arrêté là ?— Oui. Il n’a pas insisté. Mais après à chaque fois qu’il a écrit « je t’aime », j’ai répondu « moi aussi ».— Et ça te faisait quoi, d’écrire ça ?— Rien. J’étais juste inquiète du mal que je pouvais lui faire.— Pourquoi ça lui ferait du mal ? Je ne comprends pas.— Dire à quelqu’un qu’on l’aime, si ce n’est pas vrai, ça ne peut que lui faire du mal.— Quand ce n’est pas vrai sans doute, mais là tu ne mentais pas.— Je ne savais pas. Vraiment.— Bon et après ?— Eh bien, mardi dernier, quand je suis arrivée chez lui, j’étais un peu stressée. Je pensais qu’il allait me parler de ça. Finalement non. On a bu un café, il a commencé à me caresser, et il a entrepris de m’allumer, alors c’est parti tout de suite en live.— Hummm.— Il avait une grosse envie et moi aussi, alors on a vite terminé nos cafés, il s’est levé et s’est mis debout devant moi pour que le je suce. Je l’ai fait jouir rapidement, et on est partis sur le lit.— Raconte, raconte…— Oui, t’inquiète pas. Il était très, très tendre, m’embrassait partout. Quand il a bandé à nouveau il s’est allongé sur moi et m’a pénétrée très doucement. Là, c’est moi qui ai joui rapidement. Trois jours sans le voir ça m’avait manqué. Il a continué de me baiser tendrement et quand il a joui lui aussi, ...

... j’ai bien serré mon vagin. C’était trop bon. Et comme souvent, en même temps qu’il éjaculait, il m’a dit « je t’aime ». Alors je me suis lâchée et je lui ai répondu « moi aussi ».— Wouah… et après ?— Quand il a entendu ça, il m’a regardée dans les yeux. J’ai ressenti une émotion énorme mais indéfinissable. Ce que je venais de dire m’avait moi-même touchée.— Et il a dit quoi ?— Rien. Il me regardait. Et j’ai répété. « Moi aussi. Moi aussi ». Il me regardait toujours, alors j’ai poursuivi sur ma lancée. « Moi aussi, je t’aime ». Puis j’ai répété « je t’aime » plusieurs fois. Je ne m’arrêtais plus. Et plus je le disais, plus je le savais. Tu avais raison, mon amour. J’aime ce mec. Je t’aime toi aussi mais ça n’a rien à voir. Je l’aime aussi, j’en suis sûre maintenant. Quand je le lui dis ça me picote dans le bas du ventre. Je mouille encore plus.— Il a dit quoi, lui ?— Rien. Il a attendu que je me taise pour m’embrasser. Il a rebandé assez vite alors on a refait l’amour, sans changer de position.— Et tu lui a redis ?— Oui, plusieurs fois. Ça me faisait du bien. À lui aussi d’ailleurs. Marie semblait apaisée par ses aveux. Je m’étais masturbé en l’écoutant, et maintenant elle n’essayait même plus d’intervenir dans ma masturbation. Elle avait compris que me branler devant elle devenait mon unique sexualité. Kamel qui lui avait déjà déclaré sa flamme depuis bien longtemps, devait être ravi. Cette jolie bourgeoise, visiblement trop bien et trop vieille pour lui, était amoureuse de ...