Croatie
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
2couples,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
... l’hospitalité. Evidement, on les a accueillis, on a téléphoné à leur hôtel pour prévenir, on les a réchauffés, on leur a donnés des vêtements de rechange, enfin ce qu’on a pu parce qu’on avait encore les trois quarts de nos affaires dans le coffre de la voiture qui était garée deux cents mètres au-dessus du chalet. Bref, on a dîné ensemble, et on a passé une excellente soirée avec eux. C’était un petit couple charmant, marié depuis peu, et a discuté d’un tas de choses. On a même, c’est vrai, abordé des aspects assez intimes.— Faut dire que Caroline était assez sexy : comme on avait pas grand-chose à leur donner en vêtements de rechange, elle portait juste en fait un de mes gros collants en laine que je mets pour skier et un gros pull de Philippe qui lui descendait juste sous les fesses. Et au cours de la soirée, dans cette pièce commune du chalet, avec cet énorme poêle, il faisait une chaleur incroyable. Alors, je ne vous dis pas, mais quand Caro a finalement enlevé le gros pull sous lequel elle portait juste une petite chemisette en coton à fines mailles élastiques qui moulait délicieusement ses seins, les remarques et les petites blagues ont fusées. La conversation a pris un tour plus intime, confidences et déconnades ! Mais bon, c’est tout de même resté correct. Et puis, à l’heure de se coucher, nous les avons installés dans la chambre prévue pour Marc et Sophie, juste à côté de la nôtre. Nos discussions nous avaient émoustillés, et nous avons fait l’amour, discrètement, ...
... chaque couple de son côté. Enfin … discrètement ! Comme on avait laissé les portes des chambres ouvertes pour bénéficier de la chaleur du rez-de-chaussée et qu’en plus, les cloisons en bois n’étaient pas très isolantes du point de vue phonique … Bon, le vent déchaîné, la tempête qui faisait craquer le chalet, ça faisait un bruit de fond assez élevé. Mais tout de même, on entendait plus ou moins ce qui passait chez eux, et inversement, ce qui, il faut bien le reconnaître, ajoutait du piquant à la situation. Les quatre amis échangent des regards complices et entendus. Steven et Christine ne bougent plus, attentifs qu’ils sont au récit : — Après nos galipettes, continue Julie, j’ai voulu descendre à la salle de bain. Je suis sortie très discrètement de la chambre, dans le noir. Et quand je dis dans le noir ! Imaginez, dans ce chalet totalement calfeutré, le noir est tellement dense qu’il en est presque palpable. Même après un moment d’accoutumance, t’as vraiment du mal à voir où tu mets les pieds ! Au moment où j’atteignais l’escalier, je me suis trouvée nez à nez avec Caroline : elle avait la même intention que moi ! Elle était toute aussi nue que moi, et quand nous nous sommes vues, nous avons eu le même réflexe idiot : chacune a caché ses seins dans ses mains !— Incroyable, c’est vraiment un réflexe féminin, remarque Philippe, cacher des seins qu’on hésite pas à l’occase à étaler aux yeux de tous sur la plage et oublier la foune qui pourtant …— Oui, ben, c’est comme çà ! Sur ...