1. Croatie


    Datte: 25/05/2020, Catégories: 2couples, vacances, intermast, Oral pénétratio,

    ... sein droit qu’elle pétrit. La jeune femme ne se fait pas prier et vient s’installer sur l’accoudoir du fauteuil dans lequel Christine se contorsionne pour enlever son slip. Abandonnant son sein, sa main droite se plaque entre ses cuisses ouvertes alors que la gauche se pose sur le ventre dénudé de Julie.— Allez, enlève ton tee-shirt et ton soutif, laisse-nous profiter de ces nichons qui font tellement fantasmer mon mec. Julie s’exécute sans se faire prier davantage, et Christine se tourne vers elle, attrape les deux seins offerts, pose une bouche avide sur un mamelon tendu par l’excitation. Sa bouche suce le téton dur, sa langue dessine des cercles concentriques. Se mettant à genoux sur l’assise du fauteuil, sans oublier de trousser sa robe, histoire de présenter ses petites fesses au photographe, elle quitte un instant le téton distendu et approche ses lèvres de la bouche de son amie : quelques petits frôlements des lèvres, quelques touchettes rapides, et les deux bouches se collent, pour un baiser passionné accompagné de caresses appuyées sur le corps de Julie. Celle-ci est surprise, elle ne s’attendait pas à cette fougue de la part de son amie. Bien sûr, la colère était feinte, mais Julie n’aurait jamais imaginé que la douce Christine puisse basculer si rapidement, qu’elle puisse franchir aussi allègrement la limite, oublier complexes et retenue. Ces caresses presque violentes sur ses seins, ses baisers sur sa peau, cette indécence provocatrice la sidèrent. Mais ...
    ... par-dessus tout, Julie est surprise par ses baisers passionnés, ces patins dévastateurs. Elle ne s’attendait pas à ce que Christine vienne l’embrasser sur la bouche, en tous cas, pas si vite, plus tard pourquoi pas, après quelques jeux enflammés, après avoir exploré son corps, après s’être saoulées mutuellement de caresses, enivrées de parfums, après peut être même avoir dépassé les limites du plaisir. Qu’elle vienne alors lui poser doucement sur les lèvres un baiser de bonheur, un poutou tendre et reconnaissant, un bécot complice et attendri. Mais pas aussi soudainement, pas aussi rapidement, à peine leurs ébats entamés. Cette langue qui la fouille, pointue comme un couteau brûlant qui incise sa bouche dès qu’elle la referme, découpe son passage, se glisse entre ses lèvres, cette langue indiscrète et sauvage l’étonne. Ces lèvres qu’elle sent tremblantes, hésitantes mais pourtant impérieuses, cette bouche qui la force, témoignent d’un désir d’une violence qu’elle ne soupçonnait pas. Lorsque les deux femmes se séparent enfin pour reprendre leur souffle, Julie ne peut s’empêcher de remarquer : — Ben dis donc ma Chérie, quand tu t’y mets, ce n’est pas à moitié. La voix est rauque, basse, un peu essoufflée. Déjà, sa complice déchaînée a replongé vers ses seins, et elle sent une main indiscrète caresser ses cuisses, s’insinuer entre elles. Cette caresse, du bout des doigts, l’électrise, et soumise, elle écarte légèrement les jambes, ouvre le chemin vers son sexe qui s’échauffe et se ...
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