1. Croatie


    Datte: 25/05/2020, Catégories: 2couples, vacances, intermast, Oral pénétratio,

    ... les deux femmes poursuivent leurs petits jeux interdits, Julie ne supporte presque plus désormais les caresses buccales sur sexe enflammé, et redressant la tête, elle lance une langue gourmande à l’assaut de la moule inondée qui la surplombe. Elle goûte sa compagne, découvre ces parfums délicats que distille le plaisir féminin, apprécie la saveur du nectar, jalousant par là même la faculté des hommes qui accèdent si facilement à cette liqueur dont elle avait si longtemps oublié le goût, jusqu’à Sophie. Elle s’enivre de ces parfums subtils, de cette douceur délectable et sent au creux de sa propre intimité les flots de mouille redoubler. Les deux femmes se lèchent, se sucent, s’aspirent, elles se déchaînent maintenant, oubliant la douceur exaspérante pour une brutalité libératrice. Julie lape le sexe, tente de le pénétrer, rêve d’une langue si longue qu’elle pourrait envahir ce vagin distendu, elle plante jusqu’à son nez entre le fin corail des petites lèvres ourlées, tout en pétrissant les globes suspendus des seins durcis par le plaisir. Mais aussi excitée qu’elle soit, alors qu’elle est au bord du précipice, à l’instant de basculer dans le ravin, juste avant la chute ascensionnelle, elle refuse de se laisser emporter, pour ne pas succomber et rater tout à l’heure la réalisation de son fantasme le plus intime. Alors, resserrant brutalement ses cuisses, elle ferme le passage vers son intimité, empêche son amie d’accéder à sa chatte, la rejette. De toutes façons, Christine ...
    ... était entrain de perdre l’expertise de ses caresses buccales, ses mouvements devenaient trop brutaux, désordonnés, emportée qu’elle était par la brusque montée de son propre plaisir qui ne résiste plus aux assauts redoublés de ces mains qui la noient, des lèvres qui la submergent, de la langue indiscrète qui force son sexe épanoui et agace l’anneau sombre de son cul. Il n’est plus temps pour elle de s’occuper de quiconque, elle est battue sur le fil, l’élève docile a bien pris le dessus. Julie sent parfaitement les signes infaillibles de l’orgasme en approche, cette respiration précipitée, les petits tremblements des cuisses écartées, la chaleur incroyable du sexe qui se plaque sur sa bouche. Et lorsque enfin, elle sent les oscillations des hanches de Christine s’arrêter brutalement, les muscles de son corps se tétaniser, la respiration se bloquer, elle sait que le plaisir éclate, elle ressent l’énergie libératrice dégagée par l’orgasme parcourir le corps de son amie, en vagues successives, raz-de-marée si communicatif qu’elle a elle-même l’impression que ces ondes l’atteignent. Malgré les soubresauts brutaux, elle maintient sa posture, accentue, implacable, les allées et venues de sa langue entre les lèvres gonflées, sur le clito exacerbé, aspire et souffle dans le vagin distendu, alors que ses mains, jusque là si brutales, effleurent à peine désormais les seins gonflés de sève et les tétons proéminents. Qui peut dire combien de temps s’écoule avant que les vagues de bonheur ne ...
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