Croatie
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
2couples,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
... l’étrangle. Julie sent enfin comme elle l’espérait les deux membres virils se rejoindre au travers de ses chairs, se chevaucher, comme se superposer. Elle entame un très lent va-et-vient sur la bite de Steven, prenant le soin de laisser à Philippe le temps de se calquer sur le mouvement des hanches. Comblée, son fantasme se réalisant, elle se délecte du mouvement asymétrique des deux bites qui la bourrent, deux queues en même temps, deux queues pour lui bourrer et le cul et le con, deux hommes pour la prendre, s’emparer de ses sens, la mener vers l’orgasme. Elle se sent chienne, impudique, humiliée, et pourtant triomphante de contrôler ces deux membres assassins qui la fouillent : — Oh oui, défonce-moi, plus fort, crie-t-elle, explose-moi le cul, bourre-moi, vas-y, encore ! Les mouvements s’accélèrent, Julie grimpe sur l’échelle fragile du plaisir, au rythme qu’elle impose, maîtresse débordée, échevelée, haletante, partagée entre douleur et plaisir. — Vas-y, baise-moi comme une chienne que je suis, oui je suis une salope, oui je suis votre pute ! Hurle-t-elle hagarde. Et les mouvements s’emballent, les pistons se dérèglent, les va-et-vient s’affolent, mais peu importe alors, le bonheur est bien là, à portée, elle n’attend que l’explosion qu’elle souhaite simultanée des deux bites en elle. Et le foutre jaillit, lui brûle et le cul et la moule, des jets puissants, ravageurs, qui la propulsent enfin dans l’éther infini, la jettent dans l’orgasme, la ballottent comme une fétu ...
... de paille dans une monstrueuse tempête libératrice, la plonge dans un océan de douleur bienfaisante, extatique. Elle hurle son bonheur, mêle ses cris aux grognements satisfaits des deux hommes qu’elle baise, elle est secouée par des myriades de tremblements irrépressibles, des séismes de bonheurs atroces la poussent dans l’azur aveuglant, elle crie, crie encore et toujours, elle rit, rit et pleure à la fois, encaisse, appréhende et recherche les coups de butoirs puissants qui défonce son fondement et ravage son vagin. Le bonheur la submerge, la honte la magnifie, l’orgasme la transfigure, le bonheur la transcende. À bout de forces, épuisée par l’effort, disloquée par ces queues assassines, elle perd ses dernières forces et s’abat sur le torse de son baiseur en sentant tout le poids de son enculeur. Elle réalise combien, oui ô combien, elle souhaiterait à cet instant pouvoir plaquer ses lèvres sur celles de son amant, combien elle voudrait pouvoir le remercier de ce bonheur, lui couvrir le visage de petits baisers tendres, à quel point elle aimerait s’abandonner sur son torse poilu; mais elle sait parfaitement que jamais, au grand jamais, elle n’aurait accepté, elle n’accepterait jamais de laisser un autre homme que lui la posséder ainsi, l’humilier si délicieusement par l’entrée interdite. Son bonheur est intense, éboursifiant, extraormidable, cataplectique, malgré cette petite frustration. Toujours amarrée à Steven, elle glisse sur le côté, enfouit son visage dans les draps. ...