Croatie
Datte: 25/05/2020,
Catégories:
2couples,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
... rattraper !— Oh toi alors ! Tu n’y vas pas par quatre chemins !— Quatre ? Quatre chemins ? Un, deux, … trois, mais le quatrième, je ne vois pas ! Décontenancée, Christine ne répond pas d’abord, puis réalisant l’allusion, elle éclate de rire. Un rire cristallin, débridé, franc et clair qui attire l’attention des deux hommes : — Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que vous vous racontez les gonzesses ? demande Philippe intéressé. On peut en profiter ?— Non, c’est des trucs de filles ! Lui répond sa femme. Allez, les gosses, fini les pâtés de sables, on se lave les mains et on rentre !— Oui Maman ! Répondent en cœur et en riant les grands dadais. Dans le salon, Philippe, assis sur le canapé, a installé son ordinateur portable et vient de transférer les photos prises dans la journée. — Oh les filles, appelle-t-il, vous voulez voir les photos ? De la cuisine où elles finissent de remplir le lave-vaisselle, les deux jeunes femmes lui demandent deux minutes de patience. Steven, alerté par l’appel, rejoint Philippe, bientôt suivi par Julie et Christine qui s’installent à gauche et à droite de Philippe ; Steven lui reste debout et se glisse derrière le trio, derrière le canapé. — Superbe, s’exclame Christine en découvrant sur l’écran une magnifique pris de vue de la plage. L’eau est vraiment d’une couleur incroyable ! Les clichés se suivent, succession de paysages paradisiaques d’une netteté et d’un rendu étonnants qui provoquent les compliments ravis des spectateurs. — C’est vraiment ...
... génial cet appareil, quelle qualité, s’exclame Steven Sur l’écran apparaît alors une photo de Christine. Prise en contre-plongée, cette photo volée présente la jeune femme en buste, debout, discutant visiblement avec le photographe indiscret qui a déclenché à l’insu de son modèle, l’appareil vraisemblablement plaqué sur la hanche . Le volume de la poitrine est largement mis en valeur par l’angle de visée et la netteté du cliché est telle que l’on voit parfaitement ses tétons poindrent sous le tissu immaculé de son maillot de bain blanc. — Oh mon dieu, s’exclame l’intéressée, non, tu ne vas pas garder cette photo ? Vire-moi ça !— Mais non, sûrement pas, elle est superbe, répond Philippe qui déjà passe à la suivante. Quelques clichés anodins suivent avant que l’écran n’affiche en gros plan cette fois la plastique irréprochable de Julie : alanguie sur le sable, les yeux clos, elle profite visiblement avec délice des rayons solaires sans se douter de la présence du photographe indiscret. La chaleur, l’indolence, la somnolence ont relâché son corps et ses seins orgueilleux sont très légèrement affaissés. Les pans de soutien-gorge du maillot noir ont été rétrécis au maximum, et le tissu ne couvre à peine que les aréoles, histoire de laisser les rayons du soleil lécher les globes clairs de ces seins dont la rondeur étonnante est ainsi révélée. — Waouh, s’exclame Steven, magnifique. Alors que Julie sourit sans rien dire, Christine feint la colère et se retournant vers son ami, fait mine ...