1. La première rencontre


    Datte: 25/05/2020, Catégories: fh, fplusag, alliance, gros(ses), poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme entreseins, fdanus, fsodo, bellemere,

    ... d’aller encore plus loin. Je me mets à mon tour à genoux. L’implore qu’elle se lève, qu’elle relève sa jupe. Je pose mes mains sur sa dentelle que je fais glisser le long de ses bas auto-fixant qui enserrent les cuisses pleines. J’embrasse ses jambes en remontant vers la longue fente charnelle perdue sous les boucles de fourrure. Mon visage découvre une moiteur impatiente. D’instinct curieux, je m’insère encore plus bas, vers son anus étoilé. D’une langue chaude, je réveille son petit trou. — Oh, que faites-vous là, mon cher… Contre toute réponse, je l’invite à se rasseoir sur le divan. Je retrousse sa jupe et j’erre de plus belle, ma langue sur son anatomie. Accumulant une grosse quantité de salive. J’y faufile un, puis deux doigts, tout en la regardant. Une petite rougeur envahit ses joues. Ses pupilles commencent à se dilater. Inconsciemment, ses paupières se ferment, renversant sa tête en arrière. Son bassin vient au-devant de ma caresse. Son souffle se fait plus profond, plus court. J’effleure alors son ouverture à l’aide de ma verge. — Prenez-moi, me ...
    ... souffle-t-elle, d’une voix hachée. J’appuie mon membre contre son orifice étroit, je pèse de toutes mes forces jusqu’à ce que son sphincter cède. Elle ne se dérobe pas. Elle m’adresse même un sourire salace. — Vous aimez ça… ? Prendre vos conquêtes de ce côté-là ? me souffle-t-elle. Je m’engloutis en elle de toute ma longueur. Maryse en soupirant commence à remuer sous moi, une houle follement érotique. Sadiquement, je me retire lentement avant de replonger dans l’étroit canal. Je me mets à la besogner énergiquement, hélas, je ne peux me retenir d’éjaculer trop rapidement à mon goût. Maryse continue à gémir quelques instants. Elle se lève, fait retomber sa jupe, remet son soutien-gorge avec des contorsions méritoires. Je suis sonné, ahuri de plaisir, tant cela a été intense. — Je ne tiens plus sur mes jambes ! marmonne-t-elle, achevant de remettre de l’ordre dans sa toilette. Je n’ai jamais été prise de ce côté. J’ôte le tour de verrou. Je retourne dans le salon. J’ai juste le temps de reprendre une attitude décente lorsque Marion surgit à la porte d’entrée. À suivre… 
«123»