1. Le Resort (5)


    Datte: 01/10/2017, Catégories: Trash,

    ... reste ma petite culotte. Caroline ne me quitte pas des yeux. « Vous avez un très beau body, me dit-elle avec son sourire angélique. Enlevez tout et étendez-vous. Ne soyez pas inquiet, je suis réputée pour être toute en douceur.» Me voilà à poil (enfin tant qu’il m’en reste), étendu sur le matelas dont j’apprécie la fraîcheur, car je sens ma température corporelle monter de minute en minute. Caroline retire son sarrau. À ma surprise, je constate que sous son vêtement, elle aussi se trouvait complètement à poil. Quelle beauté ! Me faisant face, elle me dévoile une superbe poitrine couronnée de deux mamelons rosés en érection, un abdomen à la peau soyeuse ainsi qu’une chatte rasée dévoilant son sexe vermillon. Sur le côté du sein gauche, un autre tatouage ressemblant cette fois-ci à une main verte munie de griffes noires. Me tournant le dos pour préparer ses instruments, tout le mystère entourant les tatous se révèle à mes yeux : couvrant tout son dos, un énorme dragon la parcourt depuis le cou jusqu’au genou gauche. La tête tournée vers l’omoplate gauche, il semble agripper de sa patte le sein gauche de Caroline. Son corps cylindrique descend sur le dos en serpentant sur la colonne vertébrale. Ses petites ailes de chauve-souris s’étendent sur ses côtes. Des pattes arrière d’alligator, repliées, plantent leurs griffes dans le bas des fesses de la fille, la faisant saigner légèrement. La queue bifurque sur la cuisse gauche et vient mourir derrière le genou de la belle. Ce qui ...
    ... retient davantage mon attention, et qui amorce chez moi une solide érection, outre la simple vue de cette beauté dressée devant moi, est le fait que par son positionnement, le fantastique animal donne clairement l’impression de sodomiser la belle Caroline, me faisant rêver à ces histoires de princesses et de donjons que mes chers collègues super auteurs seraient sûrement inspirés d’écrire selon leurs fantaisies. « Vous aimez mon petit animal de compagnie ? me demande la jolie brunette en s’approchant de moi, toujours souriante. — Il ne mord pas, j’espère ? — Oh, n’ayez crainte, occupé comme il est, vous le trouverez tout à fait inoffensif. — Un dragon, ça crache le feu. Ça ne vous donne pas des chaleurs... ailleurs ? — Du foutre de dragon, c’est très brûlant, vous savez, me répond la princesse enculée, embarquant dans mon jeu. Mais j’adore cette façon d’avoir le feu au cul ! » En se penchant, elle me prend le pénis bandé et commence à l’enduire non pas de mousse à raser, mais de lubrifiant corporel. « Vaginal ou anal ? me demande-t-elle. — Je vous demande pardon ? — Je rase votre sexe en dernier. Comme il se travaille mieux en érection, je dois le garder bandé jusqu’à la fin de la procédure. Pour ce faire, pendant que je fais vos jambes et votre torse, il sera gardé bien au chaud dans un de mes orifices que je vous laisse choisir. — Bon, eh bien, disons... vaginal ? je réponds, ravi de l’invitation. — Très bien. » Mais, après une seconde d’hésitation : « Oh, que je suis bête ! ...