1. Le déménagement


    Datte: 26/05/2020, Catégories: fh, ff, fhh, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, double, Partouze / Groupe

    ... conversation assez vive, brève, suivie de quelques rires. Elle se dit qu’à un moment donné, tous trois redescendraient, et elle pourrait ressortir, récupérer ses affaires et se rhabiller. Elle se lava rapidement, puis attendit, drapée dans sa serviette. Cependant, elle ne cessait d’entendre des mouvements. Ils avaient entrepris de déménager les chambres. Qu’allaient devenir ses affaires? Il lui fallait sortir et les récupérer… Elle rouvrit la porte et revint dans la chambre. Elle y trouva les deux hommes et la femme, occupés à démonter le lit. Ses vêtements avaient été nettement rassemblés en une petite pile, dans un coin de la pièce. Elle se pencha pour les récupérer, mais lorsqu’elle se releva la femme lui dit : — Ne les remettez-pas maintenant, vous êtes très bien comme cela. Et puis, c’est fatigant de les mettre et les enlever tout le temps. Carole se retourna, le regarda, pensant qu’il allait lui falloir mettre certaines choses au clair. Elle s’était laissée aller ce matin, cela ne voulait pas dire qu’elle était à la disposition de tous les hommes et femmes de passage. Et puis, celle-là, qu’elle venait de rencontrer, n’avait à la différence des deux autres jamais fait partie de ses fantasmes. Puis la femme mit la main sur son épaule. Carole qui avait commencé à ouvrir la bouche la referma, elle sentit sa volonté s’évanouir. Que lui arrivait-elle ? — Laissons nos deux amis, ils ont du travail à faire pour rattraper le temps perdu, dit-elle. Elle se laissa faire ...
    ... lorsqu’elle lui enleva ses vêtements des mains, les laissant retomber par terre, puis la prit par l’avant-bras et la guida vers la chambre des enfants. Il ne s’y trouvait plus qu’un amas de cartons de livres. La femme prit un bout de la serviette, tira, la faisant tomber. Un instant, Carole se protégea, couvrant tant bien que mal le devant de son corps. Puis elle renonça. Elle se laissa faire lorsque la femme fit doucement descendre sa main dans son dos, son ongle glissant sur sa colonne vertébrale, provoquant un frisson qui lui fit fermer les yeux. — Tu es belle… Carole ne savait quoi lui dire, quoi faire. — Assieds-toi, s’entendis-t-elle ordonner. Carole obéit, se posant sur le bord de l’un des cartons. La femme s’agenouilla devant elle, écarta ses jambes. Elle se pencha et entreprit un cunnilingus appliqué, et très habile. Eelle dut rapidement se l’admettre lorsque des ondes violentes commencèrent à se propager de son ventre vers son corps tout entier. Elle se tendit sous la caresse, si fortement que la femme passa ses bras sous ses cuisses, empoigna ses hanches pour en en limiter le mouvement, avant que sa bouche ne revienne sur elle. Carole se laissa aller en arrière, reposant maintenant complètement sur les livres. La sensation était indescriptible, presque douloureuse. La mordait-elle ? Ses muscles tressaillaient, ses hanches se cabraient, rétives aux bras qui les enserraient. La jouissance vint, frénétique, alors qu’elle se soulevait de tout son corps arqué en arrière. La femme ...