1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1159)


    Datte: 27/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... claquement me tirait un grognement effrayé. Tout mon corps était comme tétanisé, j'avais la croupe en feu, des larmes coulaient sur mon visage déformé par la douleur... Je ne parvenais pas à me contrôler sous la morsure des lanières de cuir qui s'abattaient avec une régularité de métronome ! J'avais perdu le décompte... Je m'abandonnais simplement à la souffrance et paradoxalement au plaisir car je me surpris moi-même de terriblement bander et ne remarquai pas tout de suite lorsqu'elle prit fin. La Voix du Maitre vint rompre cet état... - Alors ? demandait-il... J'entendis dans un brouillard, la voix humble de la belle Joëlle : - C'est une mauviette... si Vous me permettez, Maître... Le rire léger du Noble fut sans doute le plus douloureux de tous les coups reçus ! - Il apprendra, répondit-il ensuite, il n'aura pas le choix de toute façon... C’est un chien à dresser et je le formaterai selon Mes convenances … Je demeurai immobile, les lèvres tremblantes, silencieux et attendis longtemps avant d'être autorisé à aller boire dans une gamelle qui avait été posée à même le sol... Ainsi je découvrais peu à peu les nouvelles normes régissant ma vie quotidienne. Etudes, tâches ménagères, sanctions régulières, service domestique et ma bouche en permanence à disposition, je trouvais ...
    ... mes marques dans cette existence réglée à la minute. D'autant que Maitre Edouard avait installé un système de surveillance en me faisait suivre par un autre soumis toute la journée universitaire et s'assurant ainsi de ne jamais perdre ma trace et me rendant totalement transparent 24h/24... Mettant fait peu de relation à la fac au début de l'année, je n'avais guère d'explications à donner de ma hâte à retourner chez moi dès la sortie de l'amphi… Quant à Joëlle, je la croisais parfois mais il nous était formellement interdit d'avoir le moindre contact hors de la maison. Bien sûr, les conditions de la "colocation" avaient également évolué. Désormais je devais me mettre nu dès que je franchissais le seuil de la porte et je connaissais par coeur la liste de mes missions, studieuses et ménagères, minutées avec précision. Mes affaires étaient désormais sous clef et je n'avais plus accès à ma chambre, ma place se trouvant désormais sur une couverture dans la cuisine, où une bassine d'eau était destinée à ma toilette effectuée tôt le matin, avant de m'occuper du petit-déjeuner de Maitre Edouard que j'allais réveiller ensuite. Lorsqu'il en avait le temps, il m'ordonnait de Le sucer afin de s'éveiller lentement, Sa semence constituant souvent mon petit-déjeuner d'esclave... (A suivre...) 
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