1. Couple Vanille (au départ)


    Datte: 27/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Mon épouse Sonia, et moi-même Alexandre, sommes un couple depuis plus de 20 ans.J’avais 35 ans et une vie de célibataire bien remplie lorsque je rencontrai Sonia de dix ans ma cadette. C’était une magnifique brune avec une paire de sein plantureux et surtout une chute de rein à damner un saint. Elle sortait d’un divorce douloureux, ayant épousé son amour d’enfance, hélas le conte de fée n’avait pas duré, et il lui en restait un manque de confiance évident. Très rapidement elle fut séduite, non pas par mon physique plutôt quelconque, mais par ma détermination dans la vie et mon fort caractère. Je lui faisais l’amour plusieurs fois par jour, mais la sachant fragile et désirant lui redonner confiance en elle, je ne la forçais à rien, et si son cul m’inspirait bien des choses, je me contentais de la faire jouir avec ma langue et mon sexe de manière je dirai conventionnelle. Nous nous marièrent et professionnellement elle me donna l’ambition de monter ma propre société, j’étais un bon professionnel et elle une excellente gestionnaire doublée d’une bonne commerciale.Au bout de cinq ans notre société avait pris de l’ampleur et ne comptait pas moins d’une dizaine d’employés. Sur le plan sexuel le pli était pris, même si elle était devenue une bonne suceuse, sans toutefois aller jusqu’à avaler, et qu’elle avait repris confiance en elle, elle restait fermée sur certaines pratiques, que d’ailleurs je ne lui proposé plus et de ce fait nos rapports s’étaient espacés. Le temps passait ...
    ... notre réussite professionnelle s’accentuait et notre entreprise devint notre bébé en l’absence d’héritier. Mon épouse était une parfaite patronne, incarnant l’image même de la boite avec ses tailleurs strictes, qui grâce à son physique avantageux, en devenait sexy sans qu’elle en ait besoin d’en rajouter. Cela faisait 15 ans qu’elle incarnait notre société et la quarantaine lui allait à merveille, le travail l’avait épanouis et s’était une femme sûre d’elle et de ce qu’elle désirait qui se tenait devant moi. Quant à moi, mes frustrations sexuelles assombrissaient un peu le tableau, même si je l’avoue, j’aimais intercepter les regards que les mâles jetaient sur mon épouse, et notamment sur sa croupe qui n’avait rien perdue de sa superbe, bien au contraire. Petit à petit je pris de plus en plus de plaisir à observer mon épouse au milieu de tous ces hommes et mes phantasmes vinrent s’inviter dans mon esprit. Pour mes cinquante ans Sonia prépara une grande fête dans la demeure dont elle était si fière. Tous les employés y étaient conviés, de Marc le petit dernier, à Pierre le doyen qui avec ses 52 ans faisait office de doyen. Pierre était le responsable de l’agence de Narbonne après avoir été pendant de nombreuses années le collaborateur et le confident de Sonia. Mon épouse avait une grande confiance en lui, car disait-elle ‘’il était de bon conseil ‘’. La soirée fut bien arrosée comme il se doit, mais je ne pus m’empêcher de penser qu’alors que j’aurai dû en être le roi, s’était ...
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