1. Le bonheur malgré tout


    Datte: 28/05/2020, Catégories: fh, amour, Oral pénétratio, mélo, amourdram,

    ... te présente tardivement mes condoléances.— Oui, cela a été une véritable catastrophe, surtout pour les enfants. Heureusement, Célia a l’air de se reprendre. Elle est très copine avec ta fille. Et toi ? Vous avez pu avoir votre mutation avec ton mari. Tu es proche de tes parents maintenant.— Non, mon mari est resté là-bas, nous avons divorcé il y a neuf ans. Je vis chez mes parents.— Excuse-moi, je l’ignorais. Mais alors… Elle est libre, pense Éric. Si elle veut nous pouvons nous marier ! Simplement il y a son père qui ne veut plus me voir, sa fille qui va rejoindre son père. On va en discuter. — Nos filles sont de la même année. Célia est du mois de novembre, nous n’étions mariés depuis guère plus d’un an.— La mienne est du mois de février, neuf mois après le mois de mai, la dernière fois que nous nous sommes vus. Non, ce n’est pas possible, ce serait ma fille ! Devant son air stupéfait, comme si elle avait lu dans sa pensée, Francine lui dit en souriant. — Si, et c’est la raison de mon divorce. Mon mari était stérile. Une main vient se poser sur l’épaule du dormeur. Il sursaute devant l’infirmière. — C’est un beau garçon. Et la maman se porte très bien. Si vous voulez aller la voir. Il s’est précipité. Francine lui a souri. — Tu vois, tout s’est bien passé. Maintenant tu auras une grande famille de quatre enfants. Moi, je n’en ai que deux vraiment à moi. En effet, il a quatre enfants, de deux mères différentes qu’il a toutes deux tendrement aimées. Quand ils se sont ...
    ... retrouvés au conseil de classe, ils ont compris que la nature leur accordait une seconde chance. Il lui a demandé sa main sur le champ. — Tu as promis à mon père de ne plus me revoir, il faut que tu le décides de lever son interdiction. Un peu ému, effrayé même, le lendemain soir, il est allé frapper chez les parents de Francine. C’est le père qui lui a ouvert. Le visage était inexpressif. Il me refuse toujours, se dit Éric. Mais tant pis, qu’il veuille ou non, je l’emmerde, je prends sa fille. — Bonsoir monsieur, je suis venu vous parler d’un sujet important.— Bonsoir, entrez. Il l’a suivi, toute la famille était dans la salle à manger, même Estelle. — Monsieur, je viens vous demander de me libérer de la promesse que je vous ai faite de ne plus revoir Francine. Je l’aime toujours et je veux l’épouser.— Et si je refuse ?— Je l’épouserai quand même et elle ne viendra plus vous voir. La maman de Francine a éclaté de rire, et même le père a souri. — Il t’a bien eu ! lui a-t-elle dit. Et maintenant c’est toi qui es pris. Francine dans son coin souriait tranquillement. Estelle frappait des mains : — J’ai un nouveau papa. Et je serai tous les jours avec Célia. La discussion est devenue générale, tout le monde souriait, Francine embrassait Éric. Tous étaient d’accord pour cette union, et le père plus que tout le monde. Il avait rapidement compris qu’il avait commis une faute en interdisant à Éric de revoir sa fille. Son gendre ne lui avait pas plu, dès sa première visite. Et Francine ne ...