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Récréations
Datte: 28/05/2020, Catégories: h, ff, ffh, profélève, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, jouet, sm, yeuxbandés, fouetfesse,
... J’ai une belle main, et je veux la rentabiliser. Il a voulu bluffer, il va le payer. — Ça me va.— Toi aussi mon chéri ?— OK… Nous dévoilons nos cartes. Là, j’ai un coup de chaud, il n’a pas tant bluffé que ça. Il montre un as et une dame. Ce qui veut dire qu’il a déjà deux paires en main. Il affiche un petit sourire satisfait en découvrant ma main. J’espère qu’il va le payer auturn ou à lariver. Carte suivante : un 8. Ça ne change de rien, il gagne toujours. Il y croit à mort, des envies violentes à son égard m’assaillent. Je n’aime pas perdre. Allez dernière carte, allez merde ! Oh putain, un dix, j’ai la quinte ! Marc est décomposé. Il regarde fixement ce dix qui vient lui voler sa victoire. Est-il déçu de ne pouvoir découvrir un peu plus mon corps, de devoir m’exposer son anatomie ou aime-t-il juste autant que moi gagner ? — Wouhou ! À poil ! C’est un cri du cœur, je n’ai pas pu le retenir. Pas eu envie non plus. Je me délecte de le voir, perdant, face à moi victorieuse, sans aucune contestation possible. — Allez mon chéri. Montre-nous ton gros paquet. Marc se lève et baisse sans aucune sensualité son boxer. Son engin a un peu perdu de vigueur par rapport à tout à l’heure. Mais Marie vient à son secours en faisant mine de pincer ses petites pointes à travers son soutien-gorge et en laissant vagabonder ses doigts sous le tissu de son string. Son manche se redresse, se contracte. — Branle-toi, mon chéri. Sans grand enthousiasme il prend son sexe en main. Il se paluche ...
... lentement, le regard baissé. J’aime le voir contraint, soumis à mon triomphe. Mais il faut savoir préserver les relations amicales. L’enfoncer davantage ne serait pas très correct, même si je n’ai aucun doute sur le fait qu’il aurait lui-même abusé de sa victoire. Je relève lentement le pan de ma jupe et lui offre la vue de mes lèvres toutes roses, jouant de l’ouverture et de la fermeture de mes cuisses. Il apprécie, le petit cochon. Il s’est redressé, et s’astique bien plus énergiquement. Son regard ne quitte ma chatte que pour venir lire l’excitation dans le mien. Marie s’est levée et me prend la main comme pour me proposer une danse. Elle me propose en fait ses lèvres, m’enlace. Nos deux corps se caressent, elle s’égare sous ma jupe, je malaxe ses seins fermes, toujours emprisonnés dans leur carcan. Nous lançons de temps en temps quelques œillades de chiennes en chaleur au petit toutou penaud qui se frotterait bien à nous. — Est-ce-que ça te semble assez Ève ? Es-tu satisfaite ?— Oui, il a bien joué le jeu. Marc ne semble pas savoir s’il doit s’arrêter, s’il peut continuer à caresser. — Bon mon chéri, tu es à court de vêtement. Quitte à te faire faire des gages, autant changer de jeu ! Je vous propose le « Devine qui ? ». Le « chéri » se fait une raison. Il abandonne son sexe à son triste sort. Pas franchement enthousiaste, il cherche cependant à en savoir un peu plus. — Et c’est quoi le principe du jeu ?— Il va falloir que tu te creuses un peu les méninges pour deviner laquelle ...