1. Les bonheurs de Sophie (5)


    Datte: 28/05/2020, Catégories: Transexuels

    Sophie5 Le week-end venu, ma mère m’annonça que nos amants, Victor et François, étaient partis à la pêche. Elle me dit : « Tu peux être Sophie si tu veux ». Il ne fallait pas le dire deux fois, je filais dans ma chambre, choisis mes vêtements Je mis ma perruque blonde et revins avec ma minijupe, mes bas, ma culotte de dentelle que maman m’avait offerte. Elle même était très sexy. Elle portait une robe courte plissée qui lui masquait à peine ses jarretelles. Ses bas blancs attiraient mon regard. Elle s’en rendit compte et fit voler sa robe pour mieux me montrer ses dessous. « Je te plais ? » demanda-t-elle. « Oh maman, comme tu es belle ! J’ai envie de t’embrasser ! » « Viens ! » Me dit-elle Je m’approchai, l’enlaçai et l’embrassai. Nos lèvres s’unirent et nos langues se mêlèrent dans un long baiser. Je bandais de plus en plus Une grosse bosse déformait ma jupe. Maman glissa une main et entreprit de me masturber à travers ma culotte. Notre baiser etait passionné. Je mis une main sous sa robe et lui caressai la vulve, elle était trempée de mouille .Maman écarta les jambes et se laissa branler. Elle me dit d’une voix chevrotante « Allons dans ma chambre ». Là, elle se débarrassa de sa robe et laissa apparaître sa poitrine dans son soutien gorge à balconnet. Je m’approchai pour le lui ôter. Elle se laissa faire et se mit à soupirer quand je pris ses mamelons en bouche, je la pelotais délicatement. Ses tétons s’érigèrent quand je les suçotais. Elle était debout, tremblante sous ...
    ... mes caresses. Elle glissa, s’allongea sur le dos sur le lit et me dit « Viens, prends moi !». Je quittais ma jupe, extrais ma bite tendue de ma culotte. Elle m’attendait, jambes relevées, sa chatte poilue grande ouverte. Je m’allongeai sur elle et la pénétrais lentement en donnant de petits coups de bite. Elle ondulait du bassin pour être mieux perforée. J’étais à fond ! Je l’embrassais à nouveau et commençais mon va et vient en elle. Nos bas crissaient les uns sur les autres. Elle gémissait, puis rapidement monta à l’orgasme. Je continuais de la pilonner quand elle hurla de plaisir. Je ressortis de son vagin et lui enfonçais un doigt dans son rectum. Elle comprit vite ce que je désirais, aussi, se retourna-t-elle pour me montrer son joli cul. Je présentais mon gland sur sa rosette et m’enfonçais facilement. J’étais en train d’enculer ma mère, qui malgré quelques crispations, gémissait de plaisir. Elle me dit « Vas y Sophie, baise moi fort ! » Encouragée par ces paroles crues, je me mis à la pistonner, en la tenant par les hanches. Ses seins se balançaient en rythme. J’allais et venais dans son cul, certainement bien élargi par la queue de Victor. Elle gémissait de plus en plus fort. Je m’enfonçais bien à fond et donnais plein de petits coups. Elle éclata de jouissance, mais je restais fichée en elle. J’attendis qu’elle retrouve son souffle pour recommencer à la baiser lentement. Ma queue glissait facilement en elle. Elle contractait son anus périodiquement. Cette sensation ...
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