1. COLLECTION COCU. Deux heures à tuer (1/2)


    Datte: 29/05/2020, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... consommation que j’avais prise sans la boire. L’air frais de ce mois de février devrait me réveiller et me faire voir que je me conduis comme une pute, mais je me retrouve dans l’ascenseur la main toujours dans la main de mon suborneur. Comment est la chambre, je suis incapable de le dire, mais quand je sens mes vêtements s’envoler, que je me retrouve avec la queue du garçon dans la main, je sens toute la puissance que nous les femmes ont quand il se met à bander ? Du temps de ma fin d’adolescence jusqu’à mon mariage, je savais me baisser pour les masturber et les sucer, mais là 10 ans plus tard je suis comme une jeune pucelle apprenant ses gammes sur le piano du sexe. Je suis nue, il est nu me montrant sa musculature que je caresse de ma main libre, son ventre comparé à celui de Clément est dur et ferme alors que celui que je côtoie tous les jours, commence à être flasque et légèrement gras. La façon qu’il a de m’appuyer sur l’une de mes épaules pour rejoindre le degré inférieur où sa verge me tend les bras, je devrais dire se tend vers ma bouche qui l’accepte comme la chienne que je sais être devenue. Je suce régulièrement Clément, mais la verge que j’ai acceptée de venir visiter pendant les deux heures que j’aie à tuer, est bien plus volumineuse, mais après un léger mal au début, j’arrive à la faire descendre dans ma gorge comme je savais si bien le faire dans ma jeunesse en gorge profonde. Je sens la cyprine glisser le long de mes cuisses, c'est loin d'arriver depuis que ...
    ... je donne la note de 6 à mon sexe de tous les jours, sexe de routine. J’arrivais à un moment de mon roman où Anastasia acceptait la domination de Christian et comme l’homme que je suce souhaite à ce que je sois l’héroïne du roman, quand il me fait lever, qu’il me pousse sur le lit du moins mes seins, car il me place à quatre pattes venant derrière moi et sans aucune fioriture m’enfile son sexe au plus profond de mon intimité. Mon buste se redresse quand je pousse un râle de plaisir, la position bien différente de la position du missionnaire que nous pratiquons avec Clément depuis quelques mois amplifie mon plaisir, il ne lui suffit que de quelques coups de bite pour me faire atteindre l’orgasme tellement absent de nos ébats depuis des lustres. Mes seins me font mal, mais il semble qu’il me suffît de penser pour que mon amant le devine, car ils les empoignent malgré la position inconfortable qu’il semble avoir pris pour me pilonner la chatte et les tires de plus en plus fort refermant le lien entre eux et cette verge qui me laboure comme si j’étais une terre vierge. Sentir son sperme éclabousser mon utérus est chose divine, d'autant plus qu’il me remplit, me remplit et me remplit encore. Je la nettoie sans la mettre entièrement en bouche, mon travail terminé sans aucune pudeur, je monte à sa hauteur, nos bouches se rejoignent sa langue récupérant une grande partie du sperme que ma langue a trouvée dans son travail de nettoyage. Je suis folle, j’ai dû m’assoupir, quand j’ouvre ...