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Dani-elle Chapitre 06
Datte: 29/05/2020, Catégories: Transexuels
... qu'il y a encore une barrière de verre qui se dresse devant moi, devant la personne que je deviens. Dans l'autre pièce, je vois la jeune fille qui se dandine sous l'effet des caresses, des chatouillements et des pincements. Je remarque que personne ne touche la région de son basin. L'homme qui a découpé sa robe s'approche d'elle. Il est maintenant entièrement nu et présente une belle érection malgré un sexe modeste. Il semble en être fier. La blonde aussi s'approche à nouveau. Elle est toujours entièrement habillée. En fait, elle est la seule personne qui porte tous ses vêtements maintenant. Elle a en main un martinet de cuir noir. L'homme se love derrière la jeune et la foule s'écarte. La blonde caresse les cuisses de sa victime puis donne un coup de martinet. J'entends le bruit et un petit cri de la jeune qui se tend. Sans le réaliser, je m'arrête de faire valser mes hanches, je me tends et je retiens mon souffle pendant un instant. L'homme me parle tout doucement. Je le sens près de moi. Sa voix n'est qu'un murmure chantant. — Xuân Hoa a été longuement préparé pour ce soir. Elle désire ce mélange de douceur et de douleur. Elle ne peut plus atteindre le nirvana sans cette combinaison. Maitresse Diane sait très bien lui offrir ce savant mélange. N'aie aucun souci. Ce n'est pas ce qui t'attend. J'ouvre les yeux et je vois l'homme qui pince et fait rouler entre ses doigts les mamelons de la jeune pendant que la blonde caresse les cuisses à nouveau. La jeune arcboute son ...
... corps et monte sur la pointe de ses pieds. La femme la frappe quelques fois et fait rougir les cuisses de la jeune. La jeune cherche la bouche de l'homme. Pendant ce temps, l'homme chuchote à mon oreille, mais je ne comprends pas ses paroles. Ma tête tourne et mon excitation croit. Les autres invités dans la salle se caressent en regardant le spectacle. Ils me font penser à des hyènes qui attendent pour chaparder la proie du lion. Je regarde les hommes et je salive à la vue de leurs queues. Je ferme les yeux tout en écoutant le flot de paroles chantantes de l'homme et je m'imagine avec ces hommes. Leurs queues sur moi, en moi. J'entends le fouet et les petits cris dans l'autre pièce, mais mon esprit est ailleurs. Je perds la notion du temps qui semble s'étirer. — Ton Maitre te regarde. Dis-lui. Désires-tu être une vraie femme ? — Oui, bien sûr Maitre. — Es-tu ici de ton propre gré ? — Oui, Maitre. — Bien. Maintenant regarde bien notre petite fleur du printemps qui va s'épanouir et devenir une femme devant toi. Je réalise que cela doit faire plusieurs minutes que j'ai fermé les yeux. Je ne sens plus l'homme près de moi. La jeune fille n'est plus attachée à sa laisse. L'homme détache les poignets de la jeune et il lui prend les mains délicatement. Il la guide vers le divan et l'aide à se placer avec attention. C'est étrange, je sens une réelle tendresse de l'homme envers la jeune fille, mais en même temps la scène qui s'offre devant moi est bestiale et violente. Je comprends que ...