La reine Margo - 11
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
Humour,
Lesbienne
Mature,
... les bras ou les jambes, je ne pouvais même pas crier, aucun son ne sortait de ma bouche. J’étais paralysé totalement. Les battements de mon cœur grimpèrent en flèche en me demandant ce que cette maudite sorcière de Mara m’avait fait. Ce n’était sûrement pas l’onguent d’Héras, mais qui sait ce que pouvait faire une vieille recette grecque qui datait de 2000 ans, voir plus. En tournant les yeux, je vis que d’autres corbeaux enteraient pas les grandes fenêtres du balcon rester ouvert et que le soir tombait. Un des corbeaux sur mon ventre me picora un mamelon essayant de l’arracher, la douleur fut si intense que des larmes me montèrent aux yeux. Pourquoi personne ne venait à mon secours, tous ces croassements devaient bien s’entendre du couloir. Un deuxième corbeau aida son ami a essayer de m’arracher le mamelon tandis qu’un troisième se posa sur mon sein droit en penchant la tête pour me regarder.... les yeux. Je vis mon visage se refléter dans son œil noir. Je ne pouvais même pas fermer les paupières.« Oh non, mes Dieux, faite que ce soit qu’un cauchemar et que je me réveille en hurlant. »Je respirait si vite que je me sentis étourdit tout en souffrant, car, les corbeaux arrachaient peut a peut mes mamelons pour avaler la chaire sanguinolente. Du sang giclait et coulait sur mes seins ce qui sembla énerver les autres qui s’approchèrent pour essayer de leur en voler des morceaux. Il y en avait de plus en plus maintenant qui se posait sur le lit et sur moi sans doute près pour le ...
... curé. Des becs effiler essayait a présent de m’arracher la peau tout partout et même mon clitoris m’infligeant une douleur insoutenable. On me picorait les orteils, les cuisses, les doigts, les oreilles, leurs griffes m’ouvrirent même le ventre pour se repaître de mes entrailles. A chaque coup de griffes, j’avais l’impression qu’on me lacérait au couteau. Soudain, horrifier, je vis celui poser sur mes seins droits se pencher et donner un violent coup de bec dans mon œil gauche. Je ne vis plus que du noir. Un autre, percher sur mon front s’attaqua a mon œil droit. Maintenant aveugle, les deux yeux crevé, je sentis qu’on me les arrachait. J’avais l’impression cette fois que l’on venait de m’enfoncer des barres de fer chauffé au rouge dans la cervelle. La douleur fut si violente que je m’assis dans le lit en hurlant, chassant les oiseaux de toutes mes forces....Une gifle puissante qui me brûla la joue me fit ouvrir les yeux. Je vis Jeanne qui m’agrippait les bras que j’agitais en tous sens pour chasser ces maudits corbeaux... mais ils avaient disparu. Derrière Jeanne il y avait ma nièce et Marie, médusées par mes cris et une dizaine de gardes épée a la main fouillant la chambre et le balcon tout en se rinçant l’œil au passage.-Calme toi, m’ordonna Jeanne, qu’est-ce qui t’arrive, un cauchemar ?-Seigneur, fis-je le cœur battant et le corps couvert de sueur en me calmant, j’ai encore mes yeux ? Ou son les corbeaux ?-Y as pas de corbeaux ici ma vieille. T’as dû rêver.-Il n’y a rien ...