Extrait de mon roman « Captif »
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
Hardcore,
Il est arrivé en avance. Je me suis dépêché de prendre la position qu’il m’impose toujours au début, à quatre pattes sur la couverture, complètement nu, excepté la cagoule. Il m’a tout de suite attaché mon collier de chien et m’a placé les bracelets de poignets. Il a ajouté un bandeau sur mes yeux. Me retrouver tout de suite dans le noir total avait quelque chose d’effrayant. « Lève-toi et suis-moi, écoute le bruit de mes pas pour ne pas te tromper de direction, concentre-toi un peu ». Il a saisi mes poignets, les a attachés à l’aide d’une chaîne aux anneaux qu’il y avait au plafond. Il ne les avait encore jamais utilisés. J’ai senti qu’il fixait un ball stretcher plus lourd que d’habitude, sans doute lesté de quelque chose de pesant. Cela tirait énormément sur mes couilles, presque à me les arracher. « Agite le bassin, je veux que tes boules dégustent, que tu ressentes davantage la douleur et que cette fois tu parviennes à la contrôler ». En même temps, il m’a accroché des pinces à tétons, les a reliées par une chaîne. À chaque fois qu’il tirait sur celle-ci, je ressentais une douleur un peu plus forte aux mamelons. Je l’entendais tourner autour de moi. Sans m’y attendre, je recevais des claques sur les fesses. Toujours plus violentes. Il a relié les chaînes accrochées à mes couilles à celle des tétons. « Continue à remuer le bassin, apprivoise la souffrance ». Je sentais celle-ci désormais partagée entre mes couilles et mes tétons. C’était tout bonnement atroce.Il m’a ...
... décroché quand il a estimé que c’était suffisant. « Retourne sur ta couverture, mais à quatre pattes, tu sais bien que tu seras toujours mon clébard! Et baisse la tête, ne fais pas l’effronté ». J’ai trouvé la couverture en tâtonnant un peu. Il a rajouté une chaîne qui allait de mes couilles à l’arrière de ma cagoule en longeant le dos. Il était placé en arrière de moi, je sentais son odeur si particulière, à laquelle je m étais habitué au fil des semaines. Il s’amusait à tripoter mes couilles, à les serrer brusquement très fort pour m’entendre laisser échapper un beuglement incontrôlable. J’avais l’impression qu’il allait les écraser, les broyer, sans la moindre hésitation. Des gouttes sont tombées subitement sur mes couilles. Cette sensation m’était déjà trop bien connue : il avait allumé une bougie. A chaque goutte, j’avais un nouveau frémissement. Elles ne tombaient pas régulièrement, je ne pouvais jamais prévoir quand je sentirais la petite brûlure. Il s’est amusé à dessiner sur mes fesses des motifs. Il semblait tracer des cercles, d’après les impacts sur ma peau. Malgré tous mes efforts, je n’arrivais pas à m’empêcher de geindre. « Ferme-la et cambre-toi ». Il ne tenait aucun compte de mes gémissements. La douleur augmentait à chaque nouvelle goutte qui tombait. Quel soulagement quand il a stoppé! Il est passé devant moi, s’est mis à genoux à hauteur de ma tête. « Suce-moi, ça va te changer un peu ». Étonnamment, sa verge était encore flasque, mais elle n’a pas été longue à ...