1. Une bimbo en gangbang ou comment ma femme est devenue une salope


    Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    J’adore faire des photos. Et notamment des photographies de ma copine. Sandra à 31 ans, je l’ai rencontré lors d’une prise de vue pour un magazine de mode. Elle était alors toute aussi timide et réservée en public, mais une vraie tornade de beauté et de charmes devant la caméra. Elle savait captiver et envouter, non seulement l’appareil mais tous les spectateurs. Sandra fait 1m70, des cheveux blonds et de longues jambes fines débouchant sur un cul obscène, un cul à se damner. Mais avant tout Sandra à une paire de seins extraordinaires, lourds, volumineux et ronds. Un appel au sexe, des seins colossaux qu’elle tente par tout moyen, sans aucun résultat, de dissimuler derrière des hauts amples et larges pour ne pas choquer ou susciter trop d’intérêts chez les hommes. Et moi, j’adore les exhiber, je lui offre des robes provocantes, parfois aux décolletés plongeant, parfois entaillées sur les côtés pour apercevoir le côté de ses seins ou parfois encore tellement moulantes qu’on ne voit que ça, deux énormes nichons de salope, les tétons qui pointent au travers. J’adore ainsi l’effet qu’elle fait sur les autres mecs, leurs regards envieux et libidineux, leurs gestes furtifs lors de soirées. Ca fait maintenant 3 ans que nous nous connaissons, que nous sommes ensemble et ça fait 3 ans que j’ai des tendances libertines et candaulistes. J’aime à la regarder dans les clubs ou les boites de nuit, à danser un peu éméchée, juchée sur des talons hauts, ce corps de prédatrice se mouvant, ...
    ... dansant, se tortillant pendant que tous les yeux sont braqués sur elle. Certains mecs se frottent discrètement contre elle ou excellent dans l’art des mains baladeuses. Les corps d’inconnus se plaquent contre elle, ses seins écrasés contre d’autres torses, qui retombent naturellement une fois l’individu décollé. J’imagine les mecs bander devant le spectacle, leurs bites gonflées contre leur pantalon, essayant par tout moyen de se la taper ou de l’entrainer dans les chiottes pour la culbuter à plusieurs. Et une fois rentrée, je la baise sauvagement avant de lui jouir dessus en l’imaginant pénétrée par 2 ou 3 types en même temps. Mais jamais rien de tout ça ne s’est passé. Sandra se voulait monogame et fidèle, et bien que profondément salope, seulement tournée vers les plaisirs en duo. C’était un après-midi d’été, en semaine, nous venions d’emménager dans une maison bourgeoise du 19e arrondissement avec jardin et vue dégagée sur Montmartre. Les travaux étaient terminés, ne restaient que des détails de peinture. Le jardin n’a que peu de vis à vis, certaines maisons à quelques dizaines de mètres sont masquées par des chênes ou des arbres touffus. Sandra est allongée sur une serviette en train de bronzer au soleil, étendue dans l’herbe. Je lui achète constamment des petites tenues sexy, de la lingerie, des déguisements mettant en valeur sa plastique, ou des robes et des talons de pute. J’aime la voir accoutrée comme une vulgaire pute de bas quartiers, avec des robes léopards très ...
«1234...12»