Des avantages d'être servie
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
fépilée,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
intermast,
Oral
fdanus,
tutu,
lettre,
Lesbienne
... pratique, car je ne peux me servir moi-même avec les mains mouillées. Vous me donnerez la becquée ! Mon ton plus amène la réconforte. Elle n’ose pas contester l’amabilité de ma proposition. J’attrape le plateau pendant qu’elle enjambe le bord. Il est haut, ses jambes sont courtes. Elle doit relever le plus possible son genou pour atteindre le rebord opposé. Presque un grand écart qui me révèle toute sa fourche intime. Y pense-t-elle ? Sa vulve grasse s’étire et dévoile deux petits pétales rose vif. Elle pose ses fesses sur l’étroite bande qui relie le mur à la baignoire. Le fond est encombré des pieds de Magali et de moi. Elle n’a d’autre ressource que de garder les siens sur les bordures, dans une pose quasi gynécologique. Elle en rougit. Je lui souris : — Vous cachez de bien jolis trésors, Céline. C’est un plaisir de les voir s’épanouir ainsi. Écartez encore vos genoux, vous serez plus à l’aise. Elle obéit, forçant sa pudeur. Les cuisses bien ouvertes maintenant laissent ressortir les grandes lèvres qui se découvrent enfin dans toute leur proéminence. Elles semblent chaudes, j’aimerais les toucher, mais le plateau m’encombre. Je cherche à m’en débarrasser. Notre hôtesse me devance. Elle se précipite obligeamment pour le récupérer. En voulant l’en remercier, je croise son regard. Il alterne entre le sexe exhibé de Céline et les mains de Magali sur ma chatte. Madame C*** est une voyeuse, qui s’ignorait, peut-être, mais qui ne renie pas les délices de ce vice. Je ...
... m’abandonne contre Magali. Ses seins sont durs. Elle m’enlace étroitement pour atteindre mon bas-ventre. J’aime le contact de sa peau. Ses doigts distendent ma fente, étirent mes nymphes et les malaxent, déplient et frictionnent l’intérieur des grandes lèvres, repoussent mon capuchon, glissent sur les muqueuses ouvertes, titillent le méat urinaire, dégagent tant qu’ils peuvent le clitoris et le massent. L’eau savonneuse facilite leur tâche et pénètre mon vagin palpitant, se mêle à ma cyprine. Je flotte dans la félicité. Je lève un bras paresseux. Le replie sur le cou de Magali. La tient tendrement au creux du coude. Ma bouche vient sur le lobe de son oreille. Je l’embrasse, le lèche, le suçote, l’embrasse encore. Je chuchote : — Continue, continue, ne t’arrête pas, s’il te plaît ! Brève déception. Magali retire une main de ma chatte en chaleur. Impression de vide. Elle la glisse sous mes fesses, un doigt sur le sillon. Bonheur ! Je pousse sur mes pieds, je soulève mon bassin, je me cambre. Mon con affleure l’eau. La mousse s’est éclaircie. Mon intimité est bien offerte à la vue de Mme C*** et de Céline. Le bras gauche de Magali me soutient les reins, ses doigts forcent ma raie. Je sens une pression sur mon œillet, je me décontracte pour l’accepter. — Il faut laver partout, Madame, me susurre Magali en collant à son tour sa bouche sur mon oreille. De ses lèvres et sa langue, elle me rend mes chatouillis. Je me renverse, ma tête contre sa poitrine, heureuse, je souris : — Bien sûr, ...