Des avantages d'être servie
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
fépilée,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
intermast,
Oral
fdanus,
tutu,
lettre,
Lesbienne
... J’insiste. Madame C*** veut s’interposer, tu la retiens. Céline capitule, ses cuisses s’écartent sans plus d’opposition, sa chatte s’offre sans objection. Mes doigts glissent vers elle. Mon index descend lentement les plis des lèvres. Il remonte l’entaille du périnée au clito assagi. Les muqueuses frémissent quand il le frôle. Un bref gémissement ponctue la caresse sur la chair trop sensible. Je masse doucement les nymphes encore humides. Le contact est chaud et collant. Je pose mes paumes contre les aines. Mes pouces compriment les lèvres, les étalent, les distendent. Des filets visqueux s’étirent en travers du con béant. J’avance le nez. Parfum familier et pourtant nouveau. Une note ténue de pomme, ou de pêche. J’hésite à la définir. Une fragrance plus âcre et marine. Une trace iodée dans un effluve de sueur. Un souvenir de lait corporel au monoï. Je hume ces senteurs mêlées au ras du calice palpitant. Je promène mes narines d’un repli à l’autre, du bord des lèvres au creux de la vulve, pour mieux distinguer les arômes qui s’en exhalent. J’inspire profondément pour mieux m’en emparer. La tête me tourne. Des frissons me traversent et réveillent mon désir. Je ne m’occupe que de mes envies. Je lèche quelques gouttes séchées sur une cuisse. Presque aussi insipides que celles qui constellaient ma poitrine. Je plaque ma bouche sur le sexe ouvert. Les odeurs se font liquides. Je lape à petits coups les restes de cyprine. Je les goûte, je les déguste. Il m’en faut plus. J’aplatis ...
... ma langue sur le tendre corail, la plaque contre les muqueuses gluantes. La saveur de pêche sucrée me déconcerte. Je renouvelle la caresse. Le bouquet s’enrichit de pointes de cannelle et de musc. L’ensemble est surprenant et délicieux. Mes papilles en réclament encore. Ma langue en cuillère ne suffit pas à réunir assez de sucs. J’aspire ce jeune jus à même les bords du vagin. Ma bouche s’enfouit dans la crevasse. Ma tête s’agite dans la quête de la source. Mon nez frotte le clitoris… Un cri déchirant m’avertit trop tard. Un jet court, mais puissant emplit ma bouche d’un liquide dense et onctueux. La jouissance de Céline a épuisé ses dernières réserves en me régalant d’un torrent de saveurs. Pêche, iode, cannelle et musc m’envahissent la gorge et m’enivrent. Mon ventre se contracte soudain. Un bref orgasme couronne mon œuvre. Je suis fière. Le silence qui suit nos ébats lubriques est encore de l’amour. Je me redresse. Magali est accroupie dans la baignoire, les yeux dans le vague, une main entre ses cuisses. Madame C*** est statufiée. Elle presse inconsciemment ses seins et sa motte par-dessus sa robe élégante. Toi, je ne te vois plus, mais je suppose que tu es satisfaite de tes incitations. Céline grelotte, tassée dans le coin du mur, le regard perdu, ses jolis petits pieds rythment les spasmes de sa respiration haletante. Je l’entoure de mes bras. La serre contre moi. J’essaie de la réconforter comme Magali l’a fait pour moi tout à l’heure. Je caresse son front, ses joues, ...