1. Des avantages d'être servie


    Datte: 26/06/2017, Catégories: fff, fplusag, jeunes, fépilée, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, odeurs, ffontaine, intermast, Oral fdanus, tutu, lettre, Lesbienne

    ... fais signe à Magali de commencer à se caresser. Céline est contre moi. Elle semble frigorifiée. Tout en m’assurant de l’obéissance de Magali, je frotte vigoureusement son bras pour la réchauffer, mais ce n’est pas ça. De grosses larmes coulent de ses yeux quand mes doigts écartent sa fente pour la savonner. — J’ai honte, Madame, j’ai tellement honte, pleurniche-t-elle. En réponse, je m’insinue plus loin entre ses plis intimes. Je fais aller plus vite ma main entre ses lèvres. Chaque saccade génère une mousse onctueuse qui dissimule presque totalement sa chatte. Je replie mes doigts à la recherche de son clito. Je repousse le capuchon pour baigner aussi le bouton. C’est en revenant à l’entrée du vagin que je m’inquiète enfin de son émotion. — Honte de quoi, Céline ? D’être à mon service ? D’avoir joui comme une cochonne ? De gicler comme une fontaine en jouissant ? Honte de quoi, hein ? Ouvrez-vous, il faut laver là-dedans aussi. Je ponctue chacune de mes questions par une pénétration plus ferme de ma main. Elle secoue la tête pour nier. — Non, non, pas de ça, pas que de ça… Puis, dans un gros sanglot : c’est d’être lavée comme une gamine, Madame ! Je dépose un bisou sur sa tempe et lui marmonne à l’oreille : — D’être lavée comme une gamine… devant Magali… devant votre amie Magali ?— Oui, souffle-t-elle. Sa candeur m’amuse. Je la rassure en murmurant tout bas : — Mais non, ma puce, regarde-la se caresser. Elle prend du plaisir à me voir te laver. Tu n’as pas honte de lui ...
    ... faire plaisir, quand même ? Tiens tes fesses écartées, je dois savonner partout. Je l’oblige à se tourner encore plus vers Magali. Mes deux servantes se font face, comme deux figures symétriques. Les gros seins ronds de Céline tressautent au gré des va-et-vient énergiques de ma main dans sa raie. (C’est pour purifier son con et son cul de toute trace « honteuse », me dis-je en souriant intérieurement de sa confusion.) Poursuivant avec zèle mon œuvre rédemptrice, je continue d’observer Magali. Elle s’astique consciencieusement la chatte. La main droite torture les nymphes, les froissant et les étirant alternativement, ne les lâchant que pour plonger trois doigts en crochet dans le vagin. La main gauche découvre et recouvre un bourgeon incarnat. Quand la droite est enfoncée dans le con, la gauche serre le clitoris entre le pouce et l’index. De temps en temps, une main ou l’autre vient allonger et vriller un téton. Magali nous fixe, bouche entrouverte. Est-ce pour moi ou pour Céline qu’elle se masturbe si durement ? Des convulsions de plus en plus rapprochées tendent son corps. La montée de l’orgasme se lit dans ses yeux. Quand je crois s’approcher la dernière vague, j’abandonne brusquement le cul de Céline et me détache d’elle en jouant la lassitude. — J’en ai assez de ces amusements, ils me fatiguent. (Je soupire d’un air blasé.) Vous rincerez Céline, Magali. Je verrai ensuite si j’ai encore besoin de vous deux. Ma main est couverte de mousse de savon. Je m’en tartine la chatte et ...
«12...8910...»