Vieux con fort et bagatelle (3)
Datte: 01/10/2017,
Catégories:
Hétéro
... m’avez dit que cette époque, vous aviez l’impression que c’était hier. Oser dire que vous n’en gardez pas un souvenir ému et que ça ne vous fait pas envie… — Ohhh. Oui, bien-sûr… Mais, jeune homme, je suis une vieille dame, et… j’ai… ma… enfin, vous allez la trouver peut-être… pas bien appétissante. — Vous inquiétez pas. Une chatte c’est une chatte. Et je suis en manque. — Bon… » Et je la vois debout devant moi se libérer de sa jupe qu’elle fait tomber à ses pieds. Elle est en collants gris clairs. Elle enlève ses chaussures, hésite un peu, continue à me regarder tandis que moi, j’ai ma bite dans la main, que je continue à polir lentement, tant pour entretenir l’érection que parce que je suis excité. Une femme c’est une femme, après tout. Ses jambes sont un peu fatiguées mais peu importe. Je la regarde se déculotter lentement et avec appréhension. Je vois sa toison blanche et peu fournie. Elle se rassoit sur le fauteuil en face de moi, d’abord un peu timidement, puis glisse son bassin vers le bord de l’assise et écarte ses cuisses en toute impudeur, les faisant reposer sur les accoudoirs. C’est à mon tour d’être à genoux, je m’approche, lui caresse les cuisses de mes deux mains. Je vois sa fente entrebâillée, toute rose. Je n’ai pas encore vu beaucoup de sexes féminins, mais cette vue me conforte dans ce que je pensais tout à l’heure : une chatte c’est une chatte. Celle-là ressemble à n’importe laquelle, aux rares que j’ai vues en vrai comme à celles que j’ai vues en gros ...
... plan en photo dans Penthouse ou Playboy. Je passe mes mains sous ses cuisses, près de ses fesses et l’attire encore un peu plus vers moi. J’écarte doucement les fines pétales de mes doigts. Je lève les yeux vers elle, elle me regarde d’un air inquiet. Elle doit se dire : il va renoncer, ça va le rebuter, il va se moquer de moi ; même si elle sait que je suis bien élevé et respectueux avec les vieilles dames. Je lui dis juste : « Vous voyez, vous disiez que vous n’aviez malheureusement rien à m’offrir, ni biscuit ni sucrerie, mais c’est faux, vous m’offrez une friandise : votre berlingot ! » Et sans attendre une réponse de sa part ma langue part à la découverte de cette petite fleur rose. Elle a un goût boisé, légèrement épicé, et je lèche doucement et à petits coups d’abord cette mignonne petite fente, de l’orifice petit et rosâtre au bourgeon à peine visible. Je l’entends qui soupire, et elle se détend, se livre en toute confiance, offre toute son intimité à ma caresse linguale. Je lèche l’intérieur de ses lèvres, le petit bouton, ma langue pointe et tente de rentrer dans le petit con délicat, je lape de plus en plus fort et de plus en plus largement cette fleur de satin. Elle réagit : elle gémit, elle m’encourage, caresse mes cheveux de plus en plus passionnément. Je suis peut-être un jeunot, un jeune con qui manque d’expérience, mais question cunni je sais, sans me vanter, que je suis doué. Un lécheur de première. Je fais mon autopromotion. Je la lèche de plus en plus fort. ...