Les cyclistes en lycra - Histoires de Sexe

Les cyclistes en lycra

... Le jeune mec poilu enlève sa combi et se retrouve entièrement nu hormis ses chaussures de VTT, chaussettes et gants. Il est vraiment très poilu et il bande et mouille comme un malade. Il se positionne à quatre pattes, épaules contre terre, cul tendu, écartant ses gros globes poilus avec ses mains. — Alors comme ça, tu doigtes mon fils, et toi, est-ce que tu aimes ça, te faire doigter ? Allez, montre-moi ton cul ! Exhibe bien ton trou de balle comme tu sais si bien le faire ! L’autre se relève en suppliant : — Noooon !— Ta gueule pouffiasse ! Joignant le geste à la parole, le quadra lui claque le visage et le repousse à terre, écarte les grosses fesses poilues, bien dodues, bien grasses et molles, examine la raie très poilue, dense, noire et frisée, alors il crache sur l’œillet sombre et plissé qui palpite, écarte encore plus avec ses grosses paluches et commence un léchage en règle du trou avec sa langue ! Le jeune couine, le quadra crache et lèche, insère sa langue au plus profond, le trou se détend et, sans crier gare, le quadra lui fourre direct son gros majeur dans le trou de balle. — AAArghhh !— C’est bon hein ma salope ? Tu vas voir, je vais bien te l’élargir ton p’tit trou ! Je vais te le formater à mes dimensions ! Je vais te faire un gros trou de vache ! Tu vas aimer, tu vas voir. Le jeune couine, affalé et vaincu sur le carrelage de la douche, son gros cul lourd et poilu bien tendu. Derrière lui, le solide quadra souffle comme un bœuf, son gros majeur grassement ...

... enfoncé dans le jeune trou, bientôt suivi par son annulaire, puis par son index, tandis que son autre main branle frénétiquement sa grosse trique palpitante faisant valser ses grosses balloches ! Il grogne, son membre disproportionné est raide, dur, le gland est énorme, gros prépuce et la mouille n’arrête pas de couler par terre. Moi aussi j’ai la trique et me branle comme un malade. J’ai déjà juté deux fois mais suis toujours dur et continue de me branler. Voilà le grand blond qui ressort ses doigts, chope un savon qui traîne et appuie sur l’eau chaude, se frotte les mains avec le savon et aussi sur la raie poilue et lui réintroduit ses trois doigts ! Ses doigts épais fourragent le trou poilu sans ménagement. — Quel bon trou bien souple ! Tu dois t’enfiler des choses dans le cul, p’tite pute ! Regarde-moi ce trou de pute ! Ça va faire une bonne chatte bien large, accueillante pour mon gros gourdin ! Le savon aidant, il peut maintenant rentrer tous ses doigts sauf le pouce. Et il continue de fourrager l’intérieur du trou du gamin. Le jeune couine, râle, halète, les yeux révulsés, mais je vois qu’il bande comme un âne, sa courte et large queue poilue plaquée contre le sol est toute dure et il mouille aussi pas mal. Il n’y a pas de doute, il aime ça ! Le traitement dure quelques minutes, le trou se dilate, un petit peu de savon et la grosse main passe ! Le jeune crie de surprise plus que de douleur. Incroyable, ce jeune se fait littéralement fister dans la douche du gymnase, alors ...