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Kaléidoscope (1)
Datte: 31/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... sortent les bébés. - C’est vrai. Collées l’une à l’autre, nous nous embrassons tout en nous doigtant. J’ai déjà deux doigts en elle et elle m’invite à en mettre un troisième. Son plaisir se fait plus intense. Laure en veut plus. - Tiens, on va faire une expérience. Mets-moi en un quatrième. - Tu es sûre ? - Oui. Ne t’inquiète pas. Je te dirai si ça fait mal. Elle gémit encore plus fort, mais ce n’est pas de la douleur, c’est bien du plaisir qu’elle ressent. Je suis assez surprise lorsqu’elle me supplie d’y mette aussi le pouce. Cela m’inquiète un peu, mais elle insiste. Je m’accroupis face à elle et présente les cinq doigts de ma main face à sa vulve. J’y vais progressivement, comme je l’ai fait avec hier avec le Christophe en terre cuite. Mes doigts la pénètrent, je suis subjuguée, je n’avais encore jamais participé à une séance de fist-fucking, c’est une première pour moi, mais peut-être pas pour Laure. D’ailleurs, elle doit se rendre compte que je n’ose pas aller plus loin, car c’est elle qui s’avance soudain vers moi, mon poignet entier est entré en elle, quelle sensation étrange. Mes doigts sont maintenant recroquevillés et je peine à les bouger. Laure, par contre, semble totalement ravie de ce que je lui fais subir, elle m’invite même à tourner mon poignet pour lui procurer plus de sensations. Après tout, si elle aime ça, je ne vais quand même pas le refuser à mon amie. Je fais donc bouger mon poignet en elle, lui provoquant de violents spasmes de plaisir qui la font ...
... gémir et crier, jusqu’à ce qu’elle jouisse soudain. Cette initiation imprévue au fisting était quand même assez déroutante. Je termine ma douche machinalement, regardant à plusieurs reprises, avec étonnement, mon poing fermé. Mais comment ceci est-il donc possible ? - Tu fais souvent ça ? - C’est venu comme cela. Je n’avais jamais essayé. Je me suis dit que c’était l’occasion. J’ai confiance en toi. - Et c’était comment ? - Pourquoi ? Tu veux essayer ? - Pas vraiment. Déjà que le gros gode était limite. - Bon. Je vais te le dire : c’était intense et violent. Mais je ressens encore des irritations, il aurait peut-être fallu lubrifier plus. Après un petit déjeuner rapidement avalé, Laure me conduit à l’hôpital de la Croix-Rousse pour aller prendre des nouvelles d’Olivier. Il a l’air d’aller mieux, car son regard me suit lorsque je me déplace, par contre il ne me reconnaît toujours pas et reste muet. Je sors alors, de la poche de mon blouson, l’appareil photo que nous avons trouvé dans l’eau et je lui confie. Il le prend en mains, le retourne, le regarde fixement, ses yeux s’écarquillent tandis que sa bouche s’entrouvre. Son regard revient alors sur moi, étonné. - Gaëlle ? Que fais-tu là ? Ça a marché ! Il a recouvré la mémoire, juste en voyant le dernier objet qu’il a eu en main, avant de la perdre. - je suis venue terminer ta mission. - Le document est caché dans une photo. - Je le sais. Tu m’as donné le code avant-hier. - Ah bon ? Je ne me souviens de rien. - Tu m’inquiètes, ...