1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 686)


    Datte: 02/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... d’une grande famille bourgeoise Lyonnaise. Très brillant, d’une intelligence rare, vraiment cultivé, c’était un grand littéraire issu des grandes écoles. Il était devenu un grand avocat au barreau de Lyon et de surcroit il était un passionné de psychologie et philosophie. Il était du genre à dévorer un livre de 500 pages en une petite nuit ! C’était aussi un passionné d’Art et de Grande Musique classique aussi. Bien que d’allure virile, il avait une part de féminité en lui avec une attitude quelque peu maniérée. A l’évidence, on pouvait constater un puissant amour sans faille pour le Noble et la réciprocité était aussi une évidence à voir comme ils s’embrassaient passionnément. - Souvent j’ai pensé à toi, j’imaginais te regarder et mon désir approchait, léger, entre ma tête et mon sexe. Rien encore ne bougeait, ni ne gonflait, sinon le peut-être d’une promesse rieuse. J’avais envie d’être près de toi, de me sentir en éveil. Pendant cette absence, bien souvent mon désir voulait rencontrer le tien, s’en assurer. J’imaginai mes mains glisser sur toi à loisir, te redessiner, te sculpter, te voir frémir. Je n’en pouvais plus, mes lèvres cherchant ton cou, mes joues les recoins soyeux de ta peau. J’avais envie que tu m’investisses, que tu entres en moi, tantôt en douceur, pour savourer chaque millimètre, tantôt d’un coup, comme aimanté… Comme je suis content d’être là, tout contre toi, viens, emmène-moi, accompagne moi ! Chuchotait David Monsieur le Marquis attrapa la main de ...
    ... David, leurs doigts s’accrochèrent et se serrèrent entre eux. Le Noble se pencha et pour attraper la laisse d’Endymion MDE. - Oh, le petit chien-chien soumis que voila ! Je ne t’avais point encore vu ! dit David en s’accroupissant devant le visage de l’esclave MDE. De sa main libre, il lui caressa longuement les cheveux, les joues, ces doigts fins effleuraient les lèvres d’Endymion MDE. Ces quelques caresses sensuelles avaient mis en émoi les sens d’Endymion MDE, sa queue s’était subitement redressée, un fin filet de mouille s’en échappait... La laisse se tendit subitement, David et Monsieur le Marquis, main dans la main entrèrent dans le Château, entrainant derrière eux, toujours à quatre pattes l’esclave MDE. Ils regagnèrent le petit salon ou étaient installés ceux qui avaient dîné avec le Maître. David était évidemment connu, Madame Marie et Mademoiselle Lucie l’embrassèrent affectueusement, Monsieur Julien, lui, un peu en retrait, s’approcha et lui serra la main. - Marie, peux-tu nous servir un bon et bel Armagnac ! Dictait le Maître. Le Maître s’était assis sur un canapé, tout près de David et avait ordonné à Endymion MDE de se positionner en levrette devant lui. Sitôt dans la position requise, l’esclave MDE sentit des pieds se poser sur son dos. Ce lourd fardeau, le fit se plier un peu plus encore, ses épaules touchaient terre alors que son cul était relevé et parfaitement cambré. Les quatre Dominants et David dégustèrent ce vieil armagnac en discutant de tout et de rien ...