Le voile se lève enfin...
Datte: 02/10/2017,
Catégories:
f,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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... lentement, un à un, ses vêtements. Je tournai le regard vers Richard. Il avait la bouche ouverte et je voyais son sexe réagir à la sollicitation visuelle. Il est vrai que la jeune femme ne manquait pas d’atouts. Ses petits seins pointaient fièrement leurs bouts roses. Elle dansait maintenant en string. Elle tourna le dos à mon chéri, se pencha légèrement en avant puis, lentement, fit glisser le tissu le long de ses jambes. Je voyais l’excitation de Richard. Sa queue, dressée, était secouée par de petits frémissements. Je tournai la tête et vis que le docteur sosie était toujours prêt à l’emploi… Et moi, je n’eus pas à m’interroger pour savoir : je sentis bien vite ma liqueur intime trahir mon excitation. J’étais toujours assise au bord de la table. Le docteur, sans prévenir, avec fougue, s’empara de mes lèvres et je me laissais emporter dans un baiser, long et savoureux, après quoi il posa les mains sur mes genoux et m’écarta les jambes pour placer sa tête entre mes cuisses. Je sentis sa langue délicieuse dessiner les contours de ma chatte. Chaque passage sur mon clitoris déclenchait un spasme. Il écarta mes lèvres pour glisser sa langue à l’entrée de mon vagin. Dieu que c’était bon ! Je fermai les yeux afin de me concentrer sur mon plaisir. De petits cris, que j’essayais pourtant d’étouffer, s’échappaient régulièrement de mes lèvres. Lorsque je rouvris les yeux, je vis Richard assis à côté de moi, tout entier abandonné au plaisir de la fellation que la jeune secrétaire lui ...
... prodiguait, avec, me sembla-t-il, beaucoup de compétence. Secouée de plus en plus fréquemment par les frissons généreusement offerts par la langue du docteur, je ne pouvais néanmoins me détacher du spectacle de mon chéri dans la bouche d’une autre. Soudain, je vis sa tête basculer en arrière et je sus qu’il allait jouir. C’est à l’instant où il libéra son premier râle, que je poussai un cri puissant, emportée par le plaisir. Nous reprîmes une attitude plus digne en sirotant une… puis deux… puis trois… coupes de champagne. Je commençais à voir double, mais je restais, heureusement, parfaitement consciente de la situation… Quoiqu’un peu « pompette », je gardais tout de même un lien avec la réalité, car tout au long de la dégustation je laissai ma main sur la queue du docteur, me faisant un devoir de la remettre en état lorsqu’elle perdait en fermeté. Richard s’en amusa beaucoup. Il caressait distraitement la poitrine de la secrétaire qui ne s’en plaignait pas. Je vis la queue de mon homme si raide que j’eus une furieuse envie de le voir baiser cette jeune femme. C’est mon côté pervers. Cela m’excitait terriblement de voir une femme jouir sous ses assauts. J’en éprouvais une grande fierté. C’est sans doute idiot, mais c’est ainsi, et je n’ai jamais éprouvé le besoin de suivre une psychanalyse pour en connaître la raison ! Je surpris un clin d’œil entre les deux hommes. De concert, ils descendirent de la table. Le docteur déroula un épais tapis sur le sol, puis les deux hommes ...