Le voile se lève enfin... - Histoires de Sexe

Le voile se lève enfin...

... celle du docteur entre mes lèvres. J’alternais avec gourmandise ces délicieuses sucettes et lorsque j’abandonnai une queue pour l’autre, la pauvresse était recueillie dans ma main et je la masturbai doucement. Oui, vous pouvez le dire. Je me comportais alors comme une grosse salope et j’en étais fière ! Je fus bientôt rejointe par Sonia qui emboucha presque brutalement la queue de mon homme. Je me concentrai sur celle du sosie et c’est seulement à ce moment-là que j’en appréciai vraiment toute la saveur. Je laissai ma langue glisser doucement le long du frein, puis j’essayai de gober, tour à tour, les jolies bourses qui pendaient, avant de remonter pour sucer le gland et avaler cette bite de pierre jusqu’à ce qu’elle me chatouillât la glotte. Sonia avait fait jouir Richard depuis un moment lorsque je décidai enfin de pomper le docteur activement. Je sentis la main de mon chéri sur ma nuque. — Allez, ma salope, montre-lui que tu es une bonne suceuse. La phrase de mon homme déclencha une inondation dans ma chatte. Je tournai mon regard vers lui et plantai mes prunelles dans les siennes. Je ne le quittai plus des yeux même lorsque le docteur se retira après avoir joui. Je voulais qu’il me voie avaler sa semence jusqu’à la dernière goutte. — C’est bien, ma petite pute. Il déposa un baiser sur mes lèvres. Nous nous glissâmes à nouveau sous les jets chauds puis j’entendis la voix de Sonia. — Et moi, je n’ai pas le droit d’être baisée à fond, ce soir ? Les hommes se regardèrent en ...

... souriant puis le docteur s’approcha. Elle s’était allongée sur le dos et il la pénétra violemment ce qui sembla beaucoup lui plaire. Je les regardai un moment puis je glissai à l’oreille de Richard : — T’as pas envie de la baiser ?— Bien sûr que si. J’attends mon tour. Je déposai un baiser dans son cou en étouffant un rire et nous appréciâmes, en connaisseurs, la vaillance du docteur qui arracha deux orgasmes à la jeune femme avant d’éjaculer. J’étais toujours autant excitée, de plus en plus impatiente de voir mon homme pénétrer cette salope. Eh oui, mes pensées n’étaient plus dans la retenue, mais dans la véracité de la situation. Mes paroles aussi, tant et si bien que je ne murmurai pas lorsque je m’adressai à mon chéri — Encule-la, cette petite pute ! Richard me jeta un regard surpris avant de m’embrasser. D’une main, je m’assurai de son état puis lui claquai les fesses : — Dépêche-toi ! Il s’approcha de Sonia, la saisit par les chevilles qu’il croisa, et d’un mouvement ample il la retourna sur le ventre. Je le vis prendre sa queue en main pour la diriger au bon endroit et s’enfoncer profondément. Je sentis un frisson réveiller mon épiderme. Je prenais un grand plaisir à le regarder et, lorsque la jeune femme libérait un gémissement, la sensation s’intensifiait. Dans cette position, Richard ne pouvait pas la pénétrer profondément et je savais qu’il allait rectifier le « tir », aussi souris-je lorsque je le vis soulever Sonia pour la positionner à quatre pattes. Il put alors ...