Pour la dernière fois - Histoires de Sexe

Pour la dernière fois

... mi-amusé, mi-sérieux, et lui demanda si cela lui avait plu. — Quand même, toi et Dominique vous n’êtes pas sympas ! Vous m’avez troussée comme une fille des rues, et je n’ai pas eu grand plaisir. Tu as été brusque avec moi. En disant cela, ses mains se portèrent à sa poitrine, et langoureusement elle laissa ses doigts errer sur ses aréoles. — Même pas une caresse sur les seins… D’habitude, tu sais si bien les caresser.— C’est peut-être ma façon à moi de me montrer plus « directif »… J’ai cru comprendre qu’à toi aussi cela manquait…— Oui, mais enfin, me prendre comme ça. Tu t’imagines ? Même pas un baiser, quasiment pas de caresses. Je ne suis qu’un trou à boucher ?— Deux trous ! Dominique et moi allons faire le nécessaire dès que possible pour que cela se fasse.— Hors de question ! Julia dit cela sans conviction. Elle savait que les garçons étaient décidés à le faire, et que sa résistance était plus morale que physique. Elle regarda Vincent dans les yeux, et par bravade libéra sa vessie devant lui. Instantanément, les yeux de son amant allèrent vers son entrejambe et, fasciné, il regarda le jet ambré sortir de nulle part. Julia savourait ce moment et ressentait un plaisir étonné à s’abandonner de cette façon. Vincent porta sa main sous le jet. Cela dura quelques secondes, trop courtes aux yeux de celui-ci, avant que ce dernier ne se tarisse. — Tu aimes exciter les hommes de cette façon ? Dis-moi, c’est parce qu’on t’a promis de te pénétrer par tous les trous que tu te lâches ...

... comme cela ? Vincent employait un ton que Julia ne lui connaissait pas. Il avait une autorité qui la tourmentait au plus profond d’elle-même. Avait-il retrouvé auprès de Delphine l’assurance virile qui en avait fait ses beaux jours ? — Ma foi, vous avez de bien drôles d’idées, tous les deux ; mais ne voulant pas mourir idiote, je veux bien essayer.— En attendant, j’ai un truc à faire. Assieds-toi dans le bac à douche. Elle comprit ce qui allait arriver. Qu’importe que ce soit aujourd’hui ou un autre jour, elle se doutait (et espérait) que cela lui arriverait. — Je veux bien, mais pas sur le visage… Vincent se mit au-dessus d’elle et rapidement libéra sa vessie sur elle. Le jet était puissant et arriva sur sa poitrine. Quelle sensation ! Une douce chaleur qui irradiait sur ses seins et ensuite descendait sur son ventre et se perdait au creux de son intimité. L’odeur était légèrement marquée ; mais, peut-être parce qu’elle était excitée, elle ne ressentait rien de rebutant. En plus, le spectacle du jet d’urine sortant du méat était pour elle un spectacle fabuleux. À toute bonne chose il faut une fin, et lorsque ce fut fini, elle se releva, prit le pommeau de douche et régla l’intensité et la température de l’eau. — Vincent, s’il te plaît, rince-moi… Ce fut fait avec beaucoup de douceur. Vincent retrouvait ses gestes d’amant attentionné, et le jet tiède lui apporta du délassement. Sur ses fesses, la chaleur de l’eau fut amplifiée par la rougeur de ses globes abondamment fessés. ...