1. Le Zoccalo


    Datte: 01/06/2020, Catégories: fh, prost, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, pénétratio, fsodo, sf, tarifé,

    ... heures à jaser, à boire, à échanger des histoires. Ça me manquait. Mes deux années dans l’armée régulière avaient été bonnes. Compétent, respecté, j’y avais fait ma place. Je ne regardais plus vraiment la piste depuis un temps, et manquai presque l’entrée de Mylène. Presque. Des gyrophares rouges, une sirène de pompiers. Mon groupe heavy metal favori, l’une de leurs pièces que j’aimais le moins, me fit lever les yeux par curiosité. « Benzin ». Mylène, vêtue d’un lourd équipement de pompiers, complet avec respirateur et bombonne, des tisons fumants sur son équipement. Sous le respirateur, son visage noir de suie. Elle sortait en courant d’un nuage de fumée, tenant en mains un vrai lance-flammes maquillé de manière à ressembler à un faux. Elle avait littéralement le feu au cul, courait sur la piste. En chantant. Au lieu de la voix de loup du chanteur du groupe, la voix de Mylène rendue rauque par la fumée. —Ich brauche Zeit… Elle cherchait un gicleur, en trouva un et le rôtit avec son arme. Une courte flamme, pas très chaude, mais quelqu’un déclencha le système et elle était soudainement sous une douche, à gigoter comme si elle brûlait de partout, arrachant son équipement, toujours en chantant, une douleur dans sa voix. —Kein Koffein… Doch Dynamit und Terpentin… Le casque jeté au sol, le masque projeté loin d’elle. —… Ich brauche Öl für Gasolin… Une épaisse fumée grise sortait du col de sa veste. Le bruit sourd de la lourde bombonne frappant le sol. —… Explosiv wie ...
    ... Kerosin… L’épaisse veste, volant loin d’elle. Un chandail partiellement brûlé et fumant. L’épaisse fumée provenait de l’intérieur de ses pantalons ignifuges. J’éclatai de rire, devinant où elle allait. Les plus allumés dans l’audience étaient eux aussi amusés. Et comme de fait, quelques pièces de vêtements arrachées plus tard… les petites culottes boucanaient comme si son sexe était en feu. Ce qui lui donnait l’excuse de se caresser, de frotter son sexe là où elle le pouvait pour éteindre l’incendie. Une fille faisait le tour avec le casque, et quand un client ou une table donnait suffisamment, Mylène s’approchait et dansait pour eux. Des suggestions vulgaires pour éteindre le feu fusaient de toutes parts. Ma table n’y faisait pas exception, quoique… Le sergent n’avait pas les yeux rivés sur Mylène, mais sur son arme qui traînait au sol. Arme que Mylène ramassa avant de s’élancer hors de la piste, pour prendre un extincteur, son acolyte la suivant de table en table et, s’ils donnaient assez, gagnaient l’extincteur quelques instants, et le droit de l’arroser. Plus ils payaient, plus longtemps durait le privilège. Une table découvrit le prix du manque de générosité, se faisant asperger, ce qui amusa beaucoup de monde. Mais toute bonne chose avait une fin, et cette fin se passa à ma table, Mylène parquant son arrière-train tout mouillé sur mes cuisses, un bras autour de mon cou. Elle était sale de suie. Elle m’ignora quelques minutes, flirtant avec mes compagnons de table. Puis, en ...
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