Pour ma fille
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
bourge,
... Honnêtement, j’ai joui surtout grâce à ses doigts. Mais les séquelles ont été bien moindres que ce que j’avais connu jusqu’alors. Il en a déduit que je m’ouvrais peu à peu. Je suis dingue de la manière qu’il a de se contrôler, de laisser mon plaisir monter puis éclater, et de ne venir qu’après. En amour, il est tout sauf égoïste. Un épisode savoureux survient l’après-midi où Karim me laisse seule pour honorer son rendez-vous au Touquet. Lorsque j’arrive sur la plage, ses copains viennent me voir pour me demander où il est. Apprenant son absence, ils me proposent de le remplacer pour leur match. Je leur réponds, narquoise : — Je n’assure que les troisièmes mi-temps, moi ! Ils s’esclaffent, mais saisissent la perche que je leur ai innocemment tendue en venant me chercher pour se baigner à la fin de leur match. Très vite, je me rends compte qu’ils se sont donné le mot pour m’entourer, m’éclabousser et me pousser au centre du cercle qu’ils forment, comme si j’étais un ballon avec lequel s’amusent. Leurs mains, elles, sont tout sauf innocentes, elles effleurent mes seins. Rendues gaillardes par mon absence de réactions, elles m’empaument de manière de plus en plus marquée. Je me demande jusqu’où iront ces jeux délicieusement troubles. Je décide de contre-attaquer et ne me prive pas de m’accrocher, comme par inadvertance, à leurs parties les plus sensibles. Je me retrouve à un moment avec le bas de maillot à mi-cuisses ! L’arrivée de leur fan club féminin sur les lieux de nos ...
... joutes aquatiques interrompt ceux-ci, et je bats prudemment en retraite, non sans regarder avec intérêt leur stratégie pour cacher à leurs copines l’effet induit par notre petit manège. L’avant-dernier jour, Karim revient vers moi en boitillant. Un tacle, semble-t-il, assassin lui a abîmé le mollet. Et me voilà devenue infirmière, avec de longues séances de massage au baume apaisant qui se transforment peu à peu en manipulations bien moins thérapeutiques. Peu à peu, nous nous découvrons l’un l’autre. Il me parle de sa famille ; il est l’aîné de huit enfants, dont sept garçons, pas tous du même père ; de sa mère, luttant pour nourrir toute sa progéniture ; de ses grands-parents maternels, revenus au pays ; de la fierté qu’il a eue d’être choisi pour intégrer en seconde le lycée de Saint-Cloud ; de l’immense désillusion qu’il a eue devant le rejet malsain dont il a été victime de la part de ses camarades garçons (il précise bien garçons, ce qui me fait penser que l’hospitalité des filles à son égard a été beaucoup plus chaleureuse) ; du climat de violence qui en a découlé, et du parti pris injuste de certains professeurs à son égard ; de ses conquêtes amoureuses aussi (Léa n’était pas la seule) ; de sa découverte des bienfaits que lui apporte le cannabis, et de son attirance pour des drogues plus dures. Il m’interroge sur mes premiers émois sexuels, mes différents partenaires. Il me fait lui parler de mon mariage et de ses déceptions ultérieures. Il s’amuse de la manière dont, dans ...