Sylvia, femme d'action (2)
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
Hétéro
... Carlos, et il n’était pas rare qu’il soit réveillé en pleine nuit par leurs performances sexuelles. Depuis son lit, il lui arrivait de voir Carlos allongé sur le dos et Sylvia en train de le chevaucher en poussant des gémissements, ou encore de voir Carlos la prendre en levrette. Du coup, ne pouvant plus supporter leurs ébats nocturnes, un jour, il l’informa que Rodrigo avait accepté de l’héberger sous sa tente. Parfois, quand il se levait la nuit pour se soulager, il entendait Sylvia gémir en passant à proximité de la fenêtre de leur chambre. Même s’il avait mis les choses à plat avec elle, il ne pouvait se sentir un peu coupable de l’accord qu’elle avait consenti à suivre. Les mois ont passé, et Sylvia s’arrondissait. Le groupe de rebelles s’était étoffé de nouvelles jeunes recrues glanées dans les villages des environs. Il était arrivé à certains hommes soit de partir voir leur famille le temps d’une journée, soit de les faire venir directement et de manière discrète. Pour Sylvia et Thierry, c’était l’occasion de les filmer en famille, de ne pas les montrer comme les brutes sanguinaires décrites par le pouvoir officiel. Ils en ont même profité pour interviewer les épouses et enfants de ces révolutionnaires qui semblaient tous fiers de ce que faisaient leurs pères et maris. Visiblement, la révolution, c’était une histoire de famille. Lors de ces journées familiales, Sylvia n’était plus la seule à jouir sous les assauts d’un homme car dans le camp on entendait parfois ...
... le bonheur des retrouvailles entre époux. Le jour de l’accouchement de Sylvia fut jour de fête. Thierry, désigné comme parrain et ayant déjà connu ça, l’avait accompagnée durant cette douloureuse épreuve. Carlos, lui, est resté à attendre avec Rodrigo et les autres. Suite à cela, Carlos a promis à Sylvia que désormais il ne prendra plus aucun risque, de peur de se retrouver avec un autre accident. Ainsi, Sylvia savait que désormais Carlos ne se contenterait plus que de l’enculer et de se faire sucer. Les festivités ont duré plusieurs jours. Sylvia, toujours alitée et nourrissant son fils au sein, avait souvent la visite de Thierry qui s’enquérait de son état. Lors d’une discussion, il lui demanda si elle ressentait quelque chose pour Carlos. La réponse fut nette et sans appel : non. Dans le meilleur des cas, elle ne le voyait pas autrement que comme un collaborateur local dont le tarif des informations était exorbitant. Au même moment, du côté de la rançon, les choses commençaient à avancer. Voyant que l’État n’était pas décidé à bouger (les caisses sont soi-disant vides, mais des millions sont accordés pour de somptueuses fêtes mondaines… cherchez l’erreur !), le père de Sylvia avait entrepris de vendre les parts qu’il détenait dans la chaîne de télévision ainsi que de nombreux autres actifs, et faisait tout pour réunir l’argent demandé. Ça allait lui coûter beaucoup, mais il était prêt à tout. Voyant sa détermination, certains actionnaires et partenaires de la chaîne ont ...