Un déjeuner perturbant
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
ffh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
caférestau,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
nopéné,
portrait,
— Aïe ! Nicole entend un cri venir du bureau de son boss. « Mais que font-ils ?» se dit-elle. Eléanore, jeune avocate stagiaire, est dans le bureau de son directeur depuis maintenant plus de 10 minutes. Et la porte est fermée. D’habitude, il laisse la porte de son bureau ouverte. Quelques instants plus tard… un, puis deux gémissements se font entendre. Puis plus rien. Nicole se replonge dans son travail. Directrice administratif et financier de cette PME importante, elle est efficace, s’entend très bien avec son directeur que tout le personnel de l’entreprise appelle "le boss". La quarantaine avancée, les cheveux bruns coiffés en éternel chignon, elle est respectée pour son savoir-faire et son excellente communication. Pour se sortir des tracasseries administratives imposées par un État trop présent, elle a obtenu l’aide d’une jeune avocate en stage dans l’entreprise. Mère de deux enfants, séparée de son mari, fervente croyante, elle ne manque pas d’assister à la messe chaque dimanche. Quelques minutes plus tard, la stagiaire sort du bureau du boss. Soupçonneuse, Nicole remarque qu’elle a le visage rouge. Eléanore lui sourit, mais sans s’attarder, elle file rejoindre son bureau. « J’aimerais bien avoir son âge… » se dit Nicole. Eléanore, tout juste 21 ans, avec déjà des formes de femme, porte une petite jupe serrée, un peu courte au goût de Nicole, les jambes gainées d’un collant noir, perchée sur de hauts escarpins, alors qu’elle-même ne porte que des chaussures à petits ...
... talons. La poitrine, bien en chair, est moulée par un chemisier blanc très ajusté. Nicole ne pense pas au sexe, ne cherche jamais à séduire. Réussir dans le monde professionnel, élever correctement ses enfants, voilà qui suffit à sa vie. Du moins c’est ce qu’elle tente de se persuader… car au fond d’elle, une petite voix ne manque pas de lui rappeler de temps en temps que sa vie est triste, ennuyeuse, sans surprise. — Nicole, pouvez-vous venir un instant s’il vous plaît ? C’est le boss, monsieur Picard, qui l’appelle. Lorsque Nicole entre dans le bureau du boss, une odeur inhabituelle lui titille les narines. Il y fait une chaleur torride, et cette odeur, comme celle qu’il y a dans une salle de réunion lorsqu’une équipe de plusieurs personnes y a passé plusieurs heures ; mais il y a quelque chose en plus dans cette odeur qu’elle n’arrive pas à déterminer. Deux mouchoirs chiffonnés traînent sur le bureau. Le nœud de cravate du boss est défait, des taches de transpiration maculent sa chemise. Le plateau du bureau, d’habitude impeccablement rangé, est dans un état de foutoir invraisemblable, dossiers éparpillés ; une règle, un stylo et une chemise jonchent le sol. « Que s’est-il passé dans cette pièce ? » pense-t-elle tandis que son directeur lui tend les papiers qu’il a signés. Puis il se lève et ouvre la fenêtre pour aérer la pièce. La nuit suivante, Nicole se réveille, en nage. Elle découvre sa culotte inondée ; une tache orne le drap à l’endroit où reposaient ses hanches. Elle ...