M comme Mélanie
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
fh,
jardin,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
initfh,
... puisse admirer le côté pile…— Bien, Maître. Obéissante, elle se tourne. Il n’y a pas à dire, c’est tout aussi mignon à contempler. J’imagine maintenant bien des choses ! Et pas forcément que basées sur la Domination/soumission ! Comme attiré par un aimant, je m’approche d’elle. Je pose mon doigt à la base de son cou. Elle frissonne. Puis lentement, le bout de mon index descend le long de sa colonne vertébrale frémissante. Je continue ma lente descente pour arriver au creux de ses reins, une petite cuvette sur laquelle je ne détesterai pas poser un jour ma tête. Je vais retenir cette idée dans un coin de ma mémoire. Je continue encore plus bas, glissant mon doigt à l’orée du sillon de ses fesses. Je poursuis, mon index de plus en plus enserrer par les masses douces de ses fesses. J’arrive près d’un petit trou excitant. Je sens que ma soumise vacille, qu’elle se pose des questions. Je m’attarde un petit peu, histoire de la taquiner un peu, puis je retire mes doigts. Je vois bien qu’elle est soulagée. Ça m’intrigue un peu ; serait-elle très rétive à ce genre de chose ? Pour changer l’atmosphère, je saisis posément ses fesses pour les caresser. Puis m’approchant plus près d’elle, je lui susurre : — Il n’y a pas à dire, l’envers vaut l’endroit.— Vous êtes trop bon, Maître.— Non, juste réaliste. Je continue ma caresse. Après une bonne minute, je passe devant elle afin de caresser son ventre. J’ai toujours aimé caresser le ventre d’une femme, c’est ainsi. Elle se laisse faire avec ...
... un certain sourire. Puis je remonte vers ses seins que je câline longuement, jouant avec leurs masses, leurs pointes. C’est alors qu’elle me dit : — Là, vous faites quoi ? C’est toujours de la D/s ?— Je tâte la marchandise, chère soumise… je tâte sans hâte… Elle ne répond rien, mais n’en pense pas moins. Elle se laisse faire, et les réactions de son corps m’indiquent clairement qu’elle apprécie. Mais je pense qu’il va falloir que je passe à la suite. M’éloignant d’elle, je désigne une souche haute de cinquante centimètres : — Mets-toi là.— Oui, Maître.— Pose tes mains dessus et présente-moi bien ton beau petit cul. Ainsi penchée, elle m’offre ses belles fesses que je me fais un plaisir de fesser doucement pour commencer afin de les chauffer. Petit à petit, elles rougissent d’une bien agréable façon. Et à prime vue, Mélanie semble beaucoup apprécier. Me mettant mieux sur le côté, j’alterne petites claques et douces caresses sur ces fesses offertes. Je ne dirais pas non à une branche souple pour cingler ce cul très attractif, mais je pense qu’il est trop tôt ; restons pour l’instant dans le ludique. Tandis que je caresse de la paume de ma main son popotin qui se laisse faire, je demande : — Tout va bien ?— Oui, tout va bien, je n’ai pas dit « rouge ».— C’est vrai, en effet… Alors, continuons… Mes fessées se sont de plus en plus sèches et piquantes. Parfois elle laisse échapper un petit cri. Comme avant, j’alterne douceur et cruauté. Son cul rougit sous les impacts, il est chaud ...