Comment je suis devenu l'esclave de ma mère - Histoires de Sexe

Comment je suis devenu l'esclave de ma mère

... faisant demi-tourRapidement je pris sa petite valise que j’ouvris sur le sol de sa chambre. Empilant le plus vite possible ses affaires dans la commode, je ne pu m’empêcher de remarquer un emballage rose. Ne sachant pas quoi faire avec je le posai sur le lit en attendant, le temps de vider le reste de ses affaires. Je tenais entre mes mains ses soutiens gorge et ses culottes en dentelle fine. Rouge, noir, blanc, bleu tout y était et je ne pouvais m’empêcher de ressentir une pointe d’excitation en les pliant. Une fois la valise vide, je la refermai et la remis à sa place sous le lit. Il ne restait plus que le paquet rose, désemparé je le fixai en espérant trouver par magie l’endroit où je devais le ranger. J’entendis les pas de ma mère qui revenait vers moi. Je baissai à nouveau la tête en attendant sa réaction.- « Tu as quitté Sarah ? » demanda-t-elle en arrivant- « Oui maîtresse. »- « Comment ça s’est passé ? »- « Bien maîtresse. »- « Comment ça bien ? Donne-moi des détails. » reprit-elle sèchement- « Je l’ai quitté par message et elle m’a répondu « pas de soucis » … »Elle eut un ricanement et dit :- « Pourquoi ça ne m’étonne pas, un lâche comme toi n’a même pas les trippes assez solides pour aller annoncer la nouvelle en face ! »- « … »- « Je vois que tu as trouvé mon nouvel achat. Ouvre-le. »Levant les yeux en direction du paquet je fis un pas en avant et commençai à déchirer l’emballage rose. Sous le papier kraft commençait à se dessiner l’image d’un sextoy. A en croire ...

... par la taille de la boîte il était sûrement plus fin et moins long que la taille d’un sexe normal. Une fois l’emballage retiré, j’ouvris la boîte qui laissa apparaître le gode. Il était doté d’une ventouse à sa base, la sculpture était grossière mais on pouvait sans mal reconnaître la forme de couilles et d’un pénis. Il était fait d’une matière assez douce au toucher.- « Enlève le de la boîte. » m’ordonna ma mèreRapidement je le retirai de son plastique et je jetai le carton ainsi que l’emballage plus loin. Je vis du coin de l’œil ma mère sortir de sa poche la clef de ma cage. Elle la lança sur le lit pour m’indiquer de la retirer, ce que je m’empressai de faire. Ce fut un tel soulagement lorsque l’étreinte qui contractait mon sexe depuis une semaine disparue qu’un petit jet d’urine s’échappa et tomba sur le sol. Mon cœur fit à nouveau un bond, je me tournai vers ma mère l’air apeuré.- « Tu vas me nettoyer ça immédiatement espèce de merde ! » cria-t-elleJe m’apprêtais à aller chercher une serpillière quand elle me repoussa.- « Je crois que tu te moques de moi, tu vas nettoyer ta pisse avec ta langue ! Puisque que tu ne sais pas te retenir tu vas apprendre à ne laisser aucune trace de tes saloperies. »Lentement je me retournai en m’agenouillant. Petit à petit j’approchai mon visage de la petite flaque qui s’était maintenant formée sur le sol. L’odeur était particulièrement forte et j’hésitais à m’en approcher plus. Je sentis la main puissante de ma mère agripper mes cheveux et ...