Ophélie, de femme à femelle (3)
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mais la mouille qui coule le long de ma cuisse, le barreau de chair qui appui sur mes fesses sont bien réel, je ne peux le nier et, j’ai envie de jouir ! Je suis au bord de l’orgasme. D’un coup, Arnaud lâche la pression, se retire de mon dos, sort de la cabine et me lance : - Essaie la dernière tenue Ophélie, dépêche-toi on doit retourner au boulot ! Et d’un geste ferme le rideau, me laissant là, au bord de l’orgasme, frustrée et tout au fond de moi déçue et en colère. 3ème essayage : une robe plutôt classique, noire, mi-cuisse avec un joli décolleté. - Très bien celle-là, on prend les 3. Ophélie tu garde celle-là sur toi, on y va. Je rassemble mes affaires, les prends et rejoins Arnaud déjà dans l’encadrement de la porte de sortie. Le retour dans la voiture, vers nos bureaux se fait dans un silence de cathédrale, sans un mot, il me laisse me tortiller sur mon siège, non pas par envie de faire pipi mais parce que j’ai la chatte en feu, humide, poisseuse, toujours avec cette envie de jouir comme une folle. L’après-midi fut chargée, les rendez-vous s’enchainés pour Arnaud, me laissant à mon bureau, essayant de faire tant bien que mal mon travail, toujours excitée de ce qui s’est passé ce midi. 17 heures, l’heure du ...
... départ, je me dirige vers mon patron et, prenant mon courage j’ose lui demandé. - Monsieur, je peux vous poser une question ? - Oui, répondit-il sans lever les yeux - Pourquoi ne m’avez-vous pas fait l’amour ce midi ?bredouillai-je Lâchant son stylo, il lève les yeux sur moi, avec un sourire carnassier. Il me dévisage, j’ai l’impression d’être une petite fille qui vient d’être convoquée par son maitre d’école, attendant une sentence. Il m’explique calmement que je ne suis pas prête, qu’il est trop tôt. Que je dois comprendre ce qu’il attend de moi, il ne veut pas simplement tirer un coup, mais qu’il veut révéler la salope soumise qui sommeille en moi, qu’il attend une totale dévotion et, pour finir, que je ne mérite pas de gouter à sa queue. Je le fusille du regard, je ne le mérite pas, pour qui il se prend ce con ? Je ne suis pas assez belle pour lui ? Vexée, je tourne les talons et me dirige vers la porte. - Si tu en avais tellement envie, il fallait me le demander ! concluait-il. Sur ces mots, je m’enfuis de son bureau, ne voulant pas écouter mon corps qui me demandait de me mettre toute nue, devant lui de m’allonger sur son bureau le suppliant de me prendre. Non, je suis une femme mariée respectable, pas une salope.