1. Ma vie de libertin - suite - 5ème histoire.


    Datte: 04/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... retrouvant dans le club mes habitudes de nudité. Il n’y avait pas de soleil, mais cela ne me gênait pas… et je n’étais pas le seul à déambuler dans le plus simple appareil. Nous avions envie d’être seuls aussi avons-nous cherché une alcôve qui soit libre pour nous y réfugier. En fait, il s’agissait de celle où il y a deux fauteuils club et cuir qui font face à une sorte de siège avec des étriers, un siège un peu semblable à celui des gynécologues mais rembourré aux bons endroits pour être confortable. Ce siège a des utilisations variées ! Une femme peut s’y masturber à son aise devant les voyeurs assis dans les fauteuils, elle peut aussi se faire baiser, l’homme debout entre ses cuisses largement ouvertes… Mais nous ne l’avons pas utilisé, préférant un des vastes fauteuils où je me suis installé, Martine en travers de mes cuisses pour nous embrasser et nous cajoler jusqu’à ce que ma bite soit au maximum de sa bandaison. Martine s’est placée d’elle-même en levrette, à genoux sur l’assise d’un des fauteuils et les bras en appui sur le haut du dossier. J’avais une vue imprenable sur ses fesses très fendues avec quelques poils qui folâtraient dans la raie et sa taille étroite bien marquée avec deux fossettes à la hauteur des reins. Elle avait encore le sphincter un peu dilaté de la double pénétration qu’elle avait subie quelques temps plus tôt, mais la prendre par la porte de service ne m’intéressait pas ! Ce que je voulais, c’est la baiser normalement, comme j’aime ! La ...
    ... levrette a toujours été une de mes positions préférée et là, je n’allais pas laisser passer cette opportunité de prendre cette belle femme dans la plénitude de ses 40 ans, une femme pour autant que j’en ai jugé, très chaude, ardente baiseuse. J’ai pris un préservatif se trouvant sur une petite table et dès que j’ai été couvert, j’ai glissé ma bite entre les cuisses de la belle, allant et venant sur sa fente humide avant de l’embrocher d’un coup sec qui a fait claquer mes cuisses contre son cul. Waouh ! Qu’elle était chaude ! Je sentais la chaleur de sa chatte au travers du préservatif et elle savait se servir des ses muscles intimes qui malaxaient mon gland chaque fois que j’arrivais tout au fond. Même si j’avais déjà baisé quelques temps auparavant, là, je savourais et je voulais profiter le plus possible de cette quadra appétissante. Si je ne dédaigne pas faire l’amour avec une femme bien plus jeune, à mon âge, il est préférable de tomber sur une femelle expérimentée, suffisamment patiente pour accepter une montée plus progressive de la jouissance pour bien s’éclater. Mes mains autour de sa taille, j’allais et venais dans sa chatte, parfois doucement, parfois plus vite et d’une manière plus virile en faisant claquer mon ventre contre ses belles fesses bien rondes qui se logeaient dans le creux de l’aine. Tantôt Martine inclinait sa tête vers l’avant comme pour regarder par en dessous les va-et-vient de ma bite dans son vagin, tantôt elle la relevait et en la faisant tourner dans ...