1. Les six week-ends marquants d'Emilie (3)


    Datte: 02/10/2017, Catégories: Hétéro

    ... secondes pour jouir. A ma grande surprise, Emilie approche alors sa bouche dans laquelle gicle mon sperme. Elle avale avec une nouvelle grimace. — Beurk !! C’est vraiment mauvais ! — Alors pourquoi l’as-tu fait ?! — Pour ne pas mourir idiote ! Emilie m’avait dit qu’elle avait goûté au sperme d’un de ses ex, du bout du doigt et qu’elle n’avait pas du tout aimé ça. Ici, au sommet du pic, elle prend dans sa bouche et avale pour la première fois. Je reste sans voix alors qu’elle se rhabille. Alors que je me nettoie le sexe, Emilie se met à rire et me dit : — Heureusement qu’on avait une heure devant nous ! Je me tourne et aperçois un groupe d’une dizaine de personnes qui atteint à son tour le sommet. A trois minutes près, Emilie et moi aurions été surpris. Après avoir mangé un peu, nous descendons par l’autre arête. Emilie commence à fatiguer et à avoir mal aux pieds. Heureusement, la pente s’adoucit et nous nous arrêtons une demi-heure au bord d’un petit lac dans lequel ma compagne met les pieds. La fin de la randonnée est assez tranquille et nous nous arrêtons encore sur la terrasse d’un bistrot dans le village. Nous rentrons ensuite à l’hôtel. Emilie est vannée et s’affale sur le lit. Je range notre sac, bois une grande quantité d’eau et m’assieds quelques instants. Je viens ensuite vers Emilie. Elle n’a pas bougé. Je défais ses chaussures, retire ses chaussettes. Elle me remercie. Puis, je remonte et embrasse son sexe à travers son mini-short. Je lèche. Emilie rit : — Zone ...
    ... interdite ! — Ah bon ? Pourquoi ? Pas vu de panneau... — État de propreté déplorable et odeurs pestilentielles. J’attrape les bords de son short, mais elle le retient : — Non non non ! Je ne rigole pas, là... Après la douche, oui, mais pas maintenant. Je la regarde. — Après la douche, je ne voudrais plus. — Tant pis. J’insiste mollement. — On va se marier, tout de même. Elle rit à nouveau : — Oui, mais il y a des limites. J’attire ses hanches au bord du lit, ses jambes contre mes épaules. Je glisse mon sexe contre le sien, à travers nos vêtements. — J’ai envie, maintenant. — Baiser, oui, mais pas de léchouilles. Emilie me laisse alors retirer son short que je remonte devant moi. Je caresse son sexe puis me lèche les doigts. Elle hoche la tête. Je dis : — J’en ai très très envie... Elle me regarde. — J’ai vraiment honte... Lentement, je descends entre ses jambes et viens butiner son sexe. L’odeur agresse mes narines avant que je n’atteigne mon objectif. Des traces blanchâtres courent sur ses lèvres que ma langue effleure. Second contact. Mon odorat et mon goût sont au diapason et mon excitation explose : je n’ai jamais goûté à un sexe aussi sale et aussi... enivrant. Je lèche avec avidité cette chatte dégoûtante, écartant les lèvres pour me délecter de son intimité la plus profonde. Emilie jouit avant que je ne caresse ensuite quelques instants de ma langue le petit trou de ma future femme. Je la pénètre vivement et la pistonne avec vigueur. Au moment de jouir, je me retire et ...
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