L'amour recherché
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
vacances,
forêt,
voyage,
amour,
volupté,
revede,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
69,
fgode,
fantastiqu,
... plus. Sarah soupira et coupa le contact. Elles ouvrirent le capot, mais l’ensemble de la machinerie semblait impeccable. Sarah donna un coup de pied dans une roue. « Et voilà, nous sommes immobilisés en plein milieu de la jungle ! » Marie lui posa une main sur l’épaule. « Attends, je connais quelques trucs en mécanique, je vais voir ce que je peux faire. » Sarah tressaillit à son contact, et Marie crut plus sage de retirer sa main. Elle se pencha sous le capot et observa. Pourtant, rien ne semblait clocher : pas de câble rompu, pas de partie fondue, pas de liquide suspect…Lorsqu’elle voulut voir de plus près, un jet d’huile tiède l’aspergea comme un serpent crachant son venin. Elle poussa un cri de surprise et Sarah accourut. Elle sortit des mouchoirs et essuya rapidement le visage de Marie, puis son débardeur. L’huile était bien accrochée, et Sarah frotta plus fort le débardeur, agressant doucement, sans le vouloir, la poitrine de la blonde, qui retint difficilement un soupir. Sarah leva le regard, un peu étonné, et se figea. Soudain, sans prévenir, elle plongea ses lèvres sur celles de Marie et lui arracha un baiser passionné. Après des heures de tentative de résistance, elle n’en pouvait plus. « Excuse-moi, Marie, oublie ce que je t’ai dit ce matin et fais-moi l’amour, très fort. » Elles titubèrent contre la carcasse de la jeep tout en se dévorant mutuellement, puis oscillèrent vers un grand arbre, contre lequel elles s’embrassèrent longuement. Leurs jambes s’emmêlèrent et ...
... leurs bassins commencèrent à se frotter ensemble. Leurs seins durcis de plaisir les brûlaient sous leurs débardeurs. Faisant sauter les boutons du short de Marie, Sarah glissa sa main dans le slip blanc de la blonde et s’empara de son sexe humide. Son antre intime ne présenta aucune résistance au va-et-vient d’un doigt inquisiteur, et Marie se mit à gémir, non sans continuer de lécher le visage de son amante. Comme deux sauvages, elles se caressaient violemment l’une contre l’autre, mais Marie ne parvenait pas à pénétrer le short trop serré de Sarah. Elle se contenta d’en masser l’entrejambe, puis de s’attaquer à son débardeur. Un sein à l’aréole sombre en jaillit, et Marie le saisit entre ses lèvres, assaillant le téton en érection, le mordillant avec délice, le suçant avec passion. Elles n’arrêtèrent de se donner du plaisir que lorsque les gouttes de pluie qui tombaient devinrent trop grosses, lorsque le vent se fit déchirant et que les premiers éclairs déchirèrent le ciel. Par-dessus le vent sifflant, Sarah cria : « Inutile d’essayer de dresser la tente ! Il nous faut un abri, suis-moi ! » Elles coururent sous la pluie, sans vraiment savoir où aller. Le sol était trempé, il semblait que le ciel ne s’arrêterait jamais de couler. Elles ruisselaient et devaient sans cesse se passer une main sur le visage pour en chasser l’eau. Enfin, Sarah trouva une sorte de petite grotte, peu large, mais au moins au sec. Elles y entrèrent et soufflèrent toute l’eau qu’elles avaient dans la ...