1. L'amour recherché


    Datte: 04/06/2020, Catégories: fh, ff, fbi, jeunes, vacances, forêt, voyage, amour, volupté, revede, BDSM / Fétichisme intermast, Oral 69, fgode, fantastiqu,

    ... pense qu’il faudrait mieux dire « celle qui ». » Elle finit d’enfiler son short en quelques coups de rein et elles furent prêtes. Elles repassèrent près de la jeep, mais il n’y avait rien à faire : elle était embourbée et complètement hors service. Quant à la tente, il était inutile de vouloir la prendre, elle était bien trop lourde. Elle dormit ce soir à la belle étoile. Elles marchèrent toute la journée, sans beaucoup s’arrêter, mais Sarah était sombre. Elle savait qu’elles n’avançaient que trop lentement. Elle n’était pas pressée de rentrer, mais elle ne voulait pas non plus passer un mois dans la jungle. Il leur aurait fallu une autre jeep. Et puis, elles s’arrêtaient trop souvent pour se caresser, glisser une main entre les jambes de l’autre, la masturber jusqu’à la jouissance. En conséquence, elles n’avançaient guère. Enfin, Sarah était un peu peinée, car elle savait que sa liaison avec Marie n’était que temporaire. Ce que Papa Legba avait du dire à Marie durant son sommeil lui était destiné : Marie était faite pour vivre avec Cathy une grande histoire, Sarah n’était qu’une passade. Elle le savait bien avant, mais cela lui faisait un peu mal. Lorsque la nuit commença à assombrir le ciel, les filles déroulèrent leurs duvets et les attachèrent ensemble, comme si elles l’avaient toujours fait. Puis, elles se déshabillèrent vite, ne gardant que leurs slips, par pure habitude. Sarah glissa vite sa main dans le slip violet de son amante et s’empara de son sexe avec ses ...
    ... doigts fins. Marie sentit ses ongles agresser ses lèvres intimes alors qu’elle-même attaquait comme une sauvage les seins de son amante avec ses dents. Leur étreinte était animale, et elles râlaient comme des lionnes en chaleur. Elles se donnaient du plaisir et se communiquait leur chaleur avec une passion débridée. Soudain, leur étreinte se figea avec le passage d’un vent frais. Ce vent n’avait rien de naturel, et elles le comprirent vite. De la terre se mêla au vent, les arbres se penchèrent et leurs vêtements commencèrent à s’envoler. Terrifiées, elles sortirent du duvet et fuirent droit devant elles, dans la nuit, poursuivies par la tornade. Elles coururent pendant une petite demi-heure, jusqu’à ce que Marie tire le bras de Sarah en lui montrant une lueur au loin. Elles continuèrent leur course et arrivèrent en plein milieu d’un campement. Cinq hommes et une femme les regardaient avec une surprise évidente. Marie mit un certain temps à s’apercevoir qu’elles venaient de débarquer de nulle part en petite culotte. Tous les hommes, presque tous de plus de quarante ans, louchaient sur leurs seins nus et sur leurs slips, heureusement pas encore trop humides malgré leurs caresses. La femme intervint et demanda à chacun de leur apporter des couvertures. Sarah dut expliquer qu’elles s’étaient faites un safari à deux, et que leur jeep était tombée en panne. Elle fut évasive quant à leur tenue, et cela eut l’air de convaincre le groupe. Ils étaient zoologues et cherchaient des espèces ...
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