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Découvertes libertines au sauna (1)
Datte: 05/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe
« Et si ce soir on allait au sauna ? » C’est cette phrase, aux allures anodines que tout à délicieusement commencé. Entre la routine du travail, des enfants, et du quotidien à gérer, la semaine avait été assez chargée, et à partir de ce soir, nous avions 2 jours « adultes » devant nous. Les enfants partaient chez leurs autres parents, avantage de la famille recomposée ! P me fit donc part de son envie d’aller au sauna ce soir. C’est un club proche de chez nous, que nous apprécions. Il faut dire que nous n’en avons pas testé d’autres, mais le mieux étant l’ennemi du bien, celui-ci nous plaisant, nous n’éprouvons pour le moment pas le besoin d’aller explorer d’autres lieux. Les enfants partis, nous nous préparons donc pour cette chaude, dans tous les sens du terme, soirée. Epilation, rasage, lavage, nous sommes tous propres et prêts à y aller. Bien que la tenue n’ait que peu d’importance, dans quelques minutes nous serons nus, P enfile une petite robe légère que j’aime voir virevolter sur ses cuisses et coller à sa poitrine. C’est une belle femme, avec de jolies formes et un visage plus joli encore. Elle est douce, mais aussi sauvage quand il le faut, et elle assume ses désirs et envies, il n’y a pas de tabous avec elle. Pour ma part, j’enfile un pantalon simple noir et une chemise colorée, mais simple également, je reste loin de la chemise hawaïenne ! Nous voilà donc partis, en route pour notre sauna préféré. Comme souvent, le trajet de l’aller est assez calme, nous ...
... échangeons peu. Nous avons beau être habitués à y aller, comme nous ne nous y rendons pas régulièrement, il y a toujours un délicieux moment de peur et d’envie mélangées lorsque nous sommes en route. Dès que j’en ai l’occasion, je pose ma main sur la cuisse de P et je la caresse du milieu de la cuisse à l’aine. J’aime toucher sa peau, encore plus quand je la sens tressaillir au contact de mes doigts comme ce soir. Je vois ses tétons se tendre sous le fin tissu de sa robe, j’en conclus que nous sommes dans le même état d’excitation. Profitant d’une grande ligne droite, je glisse un doigt plus haut sur la dentelle de sa culotte, la moiteur que j’y rencontre me rend encore plus impatient d’arriver. Une fois sur le parking, nous nous embrassons goulûment, presque dans un état second, celui du corps, de retour à ses instincts bestiaux, ceux de la chair, du sexe et surtout du plaisir. Nous sonnons, la porte s’ouvre, nous voici avec l’intérieur aux lumières tamisées, qui contrastent avec la lumière extérieure. Nous distinguons 2 couples au bar, sans pouvoir déterminer leurs traits, il faut que notre vue s’habitue à la pénombre ambiante. Nous payons, puis nous dirigeons vers le vestiaire. C’est bête à dire, mais j’ai beau savoir pour quelle raison nous sommes venus, et que quoiqu’il arrive dans même pas deux minutes nous serons tous les deux nus et que je pourrai donc profiter de la vue du corps de ma douce autant que je le désire, je suis quand même impatient de la voir se déshabiller, c’est ...