Femme BCBG, escorte, non, pute… (88)
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... et il a accepté de m’amener jusqu'à ma soupente. La chambre lui a paru exiguë surtout qu’il était obligé de s’asseoir sur le lit le temps de prendre un verre. Il ne se passait rien, je l’ai un peu forcé et j’ai réussi à ce qu’il prenne ma bouche. Le baiser est resté chaste, aucune main baladeuse. Il s’est levé et m’a dit qu’il me rappellerait quand il repasserait. Pour me venger, j’ai redoublé mes passages au bar. Je suis même allé avec deux hommes qui m’ont pris par-devant et par-derrière en même temps, en ce temps-là j’ignorais que dans le monde du sexe ils appelaient cela une double pénétration. Sans oublier les couples car les femmes appréciaient ma façon de les satisfaire après les nuits passées avec Carla. Lors de son passage suivant, il m’a attendu avec un costume neuf, même resto même repas ennuyeux, à un petit détail, au dessert le serveur m’a conseillé, de prendre une génoise au chocolat et quand je l’ai coupé avec ma cuillère, j’ai touché un objet dur. J’allais me mettre en colère contre les cuistots lorsque j’ai vu que l’objet brillait, c’était une bague. Aussitôt Georges s’est levé, et devant tous les clients il a mis un genou à terre et sous les applaudissements il m’a demandé. « Océane je t’aime, veux-tu être ma femme. » Est-ce le ridicule de la situation ou les applaudissements, mais je me suis entendu répondre oui » Il a récupéré la bague qui bien entendu était trop grande pour mon annulaire. Il m’a pris dans ses bras, nos bouches se sont trouvées pour la ...
... première fois avec amour. C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que j’étais tombée amoureuse de ce grand dadais. Il m’a ramené comme toutes les fois et a proposé que j’aille chez lui quelques jours à Saujon. En effet, j’avais une semaine de vacances prévue et je lui avais dit au cours du repas. Il m’a conduit dans son univers, tout était nickel, aucun grain de poussière. Nous nous sommes promenés le long de la Seudre. Il avait lui-même préparé le repas du soir aux chandelles. Je suis allé dans la salle de bain me préparer pour la nuit. Je suis sorti avec une chemise de nuit que j’avais abandonnée depuis des années. Quand je me suis allongé il a éteint la lumière pour éviter de me gêner. En experte que j’étais devenue au fil des mois de luxure, je lui ai pris le sexe qui a grandi et où je me suis empalé. Quand il a joui je me suis réallongée à ses côtés attendant qu’il fasse quelque chose avec mon corps qui avait l’habitude d’être bousculé, malaxé, pénétré. Après un passage à la salle de bain de sa part plus rien de la nuit. Les jours suivant le même cheminement ont dicté nos ébats. À la fin de mes vacances il a convenu que je reste à Saujon, j’ai appelé ma patronne pour lui donner ma démission et nous sommes allés chercher toutes mes affaires. Deux mois plus tard nous étions mariés. Au lit, rien n’avançait, plus d’une fois mon amour pour lui m’a poussé à le violenter mais au dernier moment, j’ai eu peur qu’il ne se demande pourquoi je devenais experte dans les jeux du ...