KARINE - Femme fatale
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
Anal
Lesbienne
Partouze / Groupe
... le salon, et accepté ce rendez-vous de mon dernier client, je ne me voyais pas rentrer chez mes parents si tôt... J'omis l'argent... Et quelques performances hors normes...Nous ne nous étions pas revues depuis 18 mois, on se téléphonait souvent, mais le plus c'étaient nos SMS échangés, avec nos impressions, des photos parfois d'une robe, d'un chemisier, de moi...Si dans mon job tout allait pour le mieux, je disposais d'un studio de fonction, un bon salaire, une voiture, mes sorties étaient limitées. Parfois chez l'un ou l'autre de mes collègues, mais je restais vigilante sur le reste et préférait me concentrer sur mon travail.Après les effusions, les nouvelles rares, son fils qui grandissait, près de cinq ans déjà, on prit un apéro dans son salon. Son fils était chez les parents, comme d'habitude...J'avais manqué un été de nouveau, j'étais à Londres en stage, et la banque pour laquelle je travaillais ne permettait pas une autre organisation.Je pris de courtes vacances légales, réparties en quelques journées...Découverte de la région, avec une collègue de travail, le CE offrait des sorties variées auxquelles je m'étais abonnée... Marche, week-end découverte, rien de bien folichon, pas de zizi-panpan ou très peu dans ces mois là. J'avais 27 ans maintenant, en pleine forme, mais imprégnée encore de nos serments, de Cécilia, de ce passé récent plein de diversité...- Oh, moi non plus... On s'est tout dit, au téléphone, tout raconté, rien de bien merveilleux, parfois un ...
... zizi-panpan avec le même qui revenait à la charge... Je le passe sous silence, aucun intérêt. Juste un truc dont j'aimerais te reparler...- On a le temps, vas-y...- Bien voilà... En fait, nous avons vécu des moments merveilleux toutes les deux... De loin en loin, stimulées par nos partenaires, comme la dernière fois où je me suis offerte à toi... Tu y as répondu avec délice, me procurant un plaisir intense, insensé, mais nous n'avons jamais parlé de ce moment très féminin, qui m'a hantée... J'ai souvent envie de toi, de te sentir près de moi, de faire l'amour avec toi, d'être lesbienne...Surprise, il est vrai que nos instants d'abandon avaient été très chauds et je l'avais fistée complètement jusqu'à son utérus...Exaltées par nos amants, alors que j'étais à mon tour livrée entre leurs main pour en subir les assauts mutuels, complices, orgiaque, elle était venue me quémander des caresses, s'était offerte à mes délires, et nous avions connu cet abandon entre deux jeunes femmes surexcitées, tombant dans les travers lesbiens... Nous avions joui toutes les deux, emportées par ce déluge de sensations, tandis que nos amants récupéraient...Abandon, partage, nous avions besoin de nous rapprocher intimement.- Oui, c'est vrai que moi aussi, ces sensations m'ont émoustillée... Nous n'avons jamais parlé de ces instants, ni de nous rapprocher, jamais dormi ensemble pour pouvoir tester cette partie de nous. Je t'aime vraiment je crois, je partage beaucoup, je t'estime surtout et te respecte.- Moi ...