1. Cocu avant mariage 2


    Datte: 07/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... élastique. Je reprends mon souffle et avec une sincérité non feinte, je jure tout ce que Léa veut me faire jurer. Je serai son mari. Je vais user de douceur pour la déflorer, je la pénétrerai avec précaution, je lui donnerai des orgasmes puisqu'elle le réclame. Je serai doux et patient, attentif à ses désirs Et nous nous enlaçons, nous nous étreignons, nous finissons allongés sur la pierre, tête-bêche, occupés à sucer le sexe de l'autre. C'est fameux, délicieux, merveilleux, envoûtant, mais insuffisant pour Léa qui supplie: - Maintenant, je veux être à toi. Viens, je veux te sentir entrer en moi, sois mon homme, mon mari. Elle a saisi ma queue, glisse sur le dos pour porter ses fesses à l'extrémité du banc. Elle lève les jambes,pieds tendus vers le ciel, elle m'appelle dans l'anse de ses cuisses et guide contre son précieux bijou la verge qu'elle n'a pas cessé de masturber. - Chéri, aime-moi comme je t'aime, viens!. Je domine son corps, ma verge tâtonne sur le seuil, mais un obstacle obstiné refuse le passage. Je pousse, Elle a mal, mais s'excuse et m'encourage à progresser. - Ce n'est rien, pousse encore. Mon hymen va céder, se déchirer. Viens pousse encore, plus fort, il le faut. Ne tiens pas compte de mes plaintes. Fais-moi femme. Ah, hum ! Il est difficile d'être à la fois doux, tendre, amoureux attentif au plaisir de sa partenaire et efficace ! Mais puisqu'il le faut, je m'applique et à mon élan répond par dessous une forte poussée du ventre de Léa vers le mien. Ça y ...
    ... est, j'ai percé et franchi la peau qui attestait de sa virginité. - Aie ! Oh ! Oui, continue. Entre et va au fond Je m'enfonce dans la chaleur moite du vagin conquis. Quand je butte contre sa vulve, j'entame le lent va-et-vient instinctif hérité de siècles de coïts, propre à l'espèce humaine comme à l'espèce animale. Cela ne s'apprend pas, cela se pratique, on le fait tout naturellement, on se met en mouvement avec plus ou moins de tendresse mais comme poussé par une force extérieure, avec une accélération du rythme des coups de reins respectifs. La respiration suit le même rythme. Léa a fermé les yeux puis ses paupières se lèvent sur un regard noyé de larmes. Je tente de déchiffrer dans ce regard l'effet produit par cette union, par notre corps à corps endiablé. Et puis soudain ma fiancé s'immobilise et dit: - Arrête-toi, il faut essuyer le sang. J'avais oublié ce "détail".. Pourvu que le sang ne tâche pas nos corps dénudés ou la pierre dure. Léa a les pieds sur terre, lâche mes hanches, me repousse doucement et demande - Tu aurais de quoi ... un mouchoir par exemple ? Le charme est rompu, je me relève, fouille dans les poches du pantalon plié par elle, utilisé comme coussin sous sa chevelure, j'en sors un paquet de kleenex. Ce sera sommaire, ne vaudra pas une douche, mais c'est nécessaire. Le papier rougit, nous en faisons une boule. Il est temps de revenir à l'expression des sentiments. Léa attendrie me remercie, je suis son héros adoré, je viens de lui prouver mon amour, je ...