kary partie-10
Datte: 08/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fatiguée, mais ayant quand même beaucoup de difficulté à trouver le sommeil. Le lendemain tout allait bien, je n’avais rien de prévu. Dring… -Oui Hello -Allo chérie, comment vas-tu. -Euh!..., très bien…, toi maman… -Ça va, que dirais-tu de venir souper avec nous ce soir? -Euhh!..., ben…, d’accord je vais y aller… -Tu as l’air occupé… Ça va… -Oui, oui maman, je vais chez toi cette après-midi. -À tantôt chérie… Ouf! Je n’avais rien de prévu, mais si Madame me contacte aujourd’hui… Vite un texto… « Madame, je vais souper chez mes parents ce soir » J’ai pris une douche et je suis retournée à ma chambre pour m’habiller. Soudain je me suis aperçus que mon téléphone indiquait la réception d’un texto. Merde je venais probablement de manquer une rencontre avec Madame. Vite j’ouvre le texto. « Vas-y sans culotte à ton souper, salope. » J’ai donc remise ma culotte dans le tiroir et j’ai enfilé une jupe avec un porte-jarretelle, des souliers à talon et un petit chemisier assortie. Madame me contrôlait même à distance, humm. Je suis donc partie chez mes parents pour souper. Tout s’est bien déroulé, mais j’étais dans la lune, Madame hantait mes pensée, ce fut très difficile de soutenir la conversation avec mes parents ce soir-là. J’ai prétexté à plusieurs reprise la fatigue du au travail et des nuits de sommeil agitées. Cela était tout à fait plausible, car tout le monde sais que dans le domaine de la santé les heures de travail et les exigences sont hors norme. Le soir venu, de retour ...
... chez moi, j’ai écrit de nouveau mon journal relatant ma soirée chez mes parents et les sentiments qui mon habités tout au long de la journée. La semaine suivante aucune nouvelle de Madame. J’ai toujours pris soin d’envoyer des texto pour qu’elle puisse suivre ma vie en direct et bien entendu j’ai écrit mon journal intime quotidien. Pendant cette semaine j’ai travaillé de jour. J’avais juste le soir pour ronger mon frein. Mais, épicerie, vaisselle et repas oblige, il ne me restait pas beaucoup de temps libre et c’était tant mieux. Puis il y a eu une fin de semaine complète sans nouvelle de Madame. Le lundi suivant je faisais un horaire de 16hoo à minuit du lundi au mercredi. Encore une fois aucune nouvelle de Madame. J’angoissais terriblement, si elle m’avait abandonné? Je me souviens très bien de cette période. Je revenais chez moi après ma soirée de travail, me disant que j’allais encore passé deux journées de congé seul sans elle. Je devais me rendre à l’évidence, elle me manquait terriblement. Je souffrais, je me demandais si j’étais capable de supporter encore longtemps cette absence. Demain je lui enverrais un texto pour lui demander de ses nouvelles. Je commençais à désespérer, même mes fesses et mes seins commençaient à être rétabli, j’avais de moins en moins de choses qui me rappelaient Madame. J’ai ouvert ma porte de garage et j’ai immédiatement aperçu la voiture de Madame. Mon corps s’est glacé. Je me suis dirigé vers la porte qui mène à mes appartements et il y avait ...