1. Un samedi pas comme les autres


    Datte: 10/06/2020, Catégories: ff, fplusag, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion,

    ... position, pour aller chercher les feuilles les plus éloignées. C’est alors que je me rends compte qu’elle doit avoir mon postérieur sous le nez. Je jette un bref coup d’œil à l’arrière, Carole ne ramasse plus rien mais son regard est planté sur mon fessier et le reste. Trouvant ainsi une nouvelle occasion d’afficher mes charmes, j’écarte franchement les jambes tout en poursuivant ma collecte. Une fois encore je sens le string me couper le sexe en deux. J’imagine aisément que Carole doit voir mes lèvres gonflées par mon excitation pendre de chaque côté du mince bout de lingerie passablement enfoncé dans ma chatte. Je commence à être à bout, j’ai une furieuse envie de glisser ma main entre mes jambes et de me jeter sur mon sexe, de me caresser devant elle en lui balançant des mots cochons. Je n’en peux plus, il faut aller au bout maintenant. Je me retourne face à elle et je m’accroupis jambes bien écartées. Tout en ramassant encore quelques feuilles, je jette un œil à mon entrejambe pour avoir une idée précise du spectacle que j’offre depuis un moment. Comme je l’imaginais, mon sexe a tellement dévoré mon string qu’on a presque l’impression que je suis nue. Mes lèvres gonflées débordent de chaque côté et luisent de mon humidité intime. Je cherche quelque chose à dire qui bousculerait Carole et l’obligerait à exploser enfin. Il me vient alors seulement à l’esprit la réflexion que j’avais faite à Thomas quelques semaines plus tôt. Tout en gardant la tête basse, je lui ...
    ... balance : — Alors, c’est quoi qui te fait le plus mouiller ta petite culotte ? Un silence s’installe puis elle marmonne enfin : — Euh… pardon ? Je ne comprends pas.— Mais si, tu comprends très bien, tu me mates les seins et la chatte depuis que tu es arrivée. Je relève la tête et je poursuis : — Tu crois que je n’ai rien vu ? Ses grands yeux roulent dans tous les sens, elle est paralysée par l’effroi. Elle bredouille deux ou trois mots incompréhensibles. Je pose alors une main sur son genou et je continue en disant : — Il faut peut-être que je vérifie par moi-même ? Mue par un désir incontrôlable, elle écarte sa jambe comme si elle voulait me faciliter l’accès. Ce qui ne l’empêche pas par ailleurs de toujours rouler des yeux effarés, d’ouvrir la bouche comme si elle voulait parler, mais aucun son ne sort. Sa peau est douce et chaude, légèrement moite même de sa transpiration. Plus ma main remonte vers le haut de sa cuisse, plus sa jambe s’écarte. Quand elle arrive enfin à proximité de son bas-ventre, ses deux jambes sont impudiquement écartées. J’arrête ma progression là. Carole n’a plus ce regard terrorisé, mais des yeux brûlants d’envie. Sa bouche est ouverte et elle respire fort, halète même. L’arrêt du mouvement de ma main lui fait écarquiller les yeux, son bassin tente un mouvement qui cherche désespérément à pousser mes doigts vers son sexe. De ma main libre, je dégrafe complètement ma veste. Les pans de mon kimono s’accrochent un moment à mes mamelons tellement ils sont ...