1. Passions éternelles (3)


    Datte: 03/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Je me réveillai à l’hôpital, j’avais un plâtre de la main gauche jusqu’au coude, un autre à mon poignet droit, et un troisième à ma jambe gauche qui s’étendait de mon pied jusqu’à mon genou. Dans la chambre, il y avait un docteur et une infirmière, ils remarquèrent que j’ouvrais mes yeux et le docteur commença à me parler : — Comment allez-vous ? Je n’arrivais pas à parler alors je fis oui de la tête. — Vous avez eu de la chance, vous n’avez que quelques fractures mais vous aurez ces plâtres pendant quelques jours. Il partit aussitôt et ce fut ma seule visite de la journée. Le lendemain, j’arrivais à parler, il revint avec la même infirmière et il recommença à me parler : — Comment vous sentez-vous aujourd’hui ? A : J’ai un peu mal mais sinon ça va. Depuis combien de temps je suis ici ? — Ça fait deux jours. A : Pourquoi suis-je à l’hôpital ? — Vous avez été percuté par une voiture. Mais comme je vous l’ai dit hier, vous avez eu de la chance. Je vais vous laisser. Il partit mais l’infirmière resta, elle me dit : V : Bonjour, je m’appelle Valentina. Je vais m’occuper de vous pendant votre séjour, à moins que vous ne soyez gêné que je vous fasse la toilette ? A : Non, c’est bon, ça ira. La veille, j’étais encore un peu étourdi et je n’avais pas remarqué que c’était une jeune infirmière (elle devait avoir dans les 25 ans), d’origine italienne ; vu son prénom et son léger accent. Elle avait de jolis yeux bleus à peine maquillés de noir et des cheveux noirs, coiffés en ...
    ... queue-de-cheval, encadraient son doux visage. Elle avait des jambes finement musclées et des seins ni trop gros ni trop petits. Sa blouse blanche n’était pas entièrement boutonnée ce qui laissait apercevoir un liseré de dentelle de son soutien-gorge. L’infirmière ferma la porte à clé et revint vers moi : V : Je vais vous aider à vous lever. Elle releva le haut du lit grâce à un petit boîtier puis me prit sur son bras et on se dirigea vers la salle de bain de la chambre. Elle m’ôta la chemise, prit un gant de toilette et commença à me laver. Elle passa sur tout le corps et fini par mon sexe. J’ai ressenti le début d’une érection mais son nettoyage ne me permit pas de bander. Il y avait un sac à côté d’elle, elle en sortit un t-shirt et un short. Elle cherchait encore quelque chose à l’intérieur ; sûrement un boxer mais elle n’a rien sorti. Elle m’enfila mes habits et me ramena dans le lit puis elle sortit. Durant l’après-midi, ma sœur et ma mère me rendirent visite. Elles restèrent pendant une demi-heure et me ramenèrent mon téléphone, mon ordinateur portable et mes oreillettes. Lorsqu’elles furent parties, je regardai mes messages de mon téléphone, Éléana m’en avait laissé une bonne vingtaine. Je lui envoyai, par SMS, que j’étais à l’hôpital depuis deux jours et lui demandai si elle pouvait venir aujourd’hui. Elle ne me répondit pas. Le lendemain, Valentina revint pour me faire ma toilette. Elle fit comme hier mais je trouvais qu’elle s’était un peu plus attardée sur mon sexe. Ma bite ...
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