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Maryse, naissance de la perversion (1)
Datte: 12/06/2020, Catégories: fh, extracon, inconnu, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, nopéné, bourge, attirautr,
... d’identité. — OK c’est bon, pour le papier, c’est la dernière benne. Par contre, faut revenir demain avec votre carte si vous voulez pas recevoir une amende.— Merci. Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle se dépêche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons étant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l’ouverture se trouve un peu au-dessus de son visage. L’employé ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n’est pas si souvent qu’une femme vient lui rendre visite. Celle-là dans sa robe verte lui plaît bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l’appétit. Les deux autres non plus n’en ratent pas une miette. D’ailleurs ils se font quelques commentaires imagés qui ne laissent aucun doute. L’un d’eux s’adresse à l’employé : — Eh Francis ! T’en reçois du beau monde aujourd’hui ! Tu nous avais caché ce joli petit lot.— Moi, je lui p’loterai bien les nichons ! Et Francis de répondre : — Ouais, tu peloterais n’importe quoi toi de toute façon ! S’en suivent des éclats de rire bien gras. Les hommes n’ont pas été très discrets et Maryse a tout entendu de l’échange et des premiers commentaires échangés. Et elle est mal à l’aise. Elle n’ose rien dire. Son cœur bat la chamade. Son ...
... souffle est plus court. Les efforts pour jeter ses fichus dossiers, se dit-elle. Mais elle sait qu’il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n’ose y croire, mais elle est excitée par les commentaires des ces vicieux. Il faut qu’elle se reprenne. Francis l’employé approche d’elle. — Madame, n’oubliez pas de revenir demain. J’ouvre à 8 heures et je ferme à 17 heures 30. Sauf le mercredi où je ferme à 14 heures. D’ailleurs l’heure approche, faudrait vous dépêcher. Le bonhomme s’en va sans même l’aider. Quel goujat, pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braqué sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tétons tendent outrageusement le tissu de sa robe à travers son soutien-gorge. Les derniers papiers jetés, elle quitte la déchèterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s’empêcher de repenser à ces derniers moments à la déchèterie. Elle a été troublée par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. Arrivée chez elle, elle prend un bon bain, se prélasse puis s’occupe de la maison en attendant le retour de son mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet épisode qu’elle essaie d’oublier. Le lendemain matin, elle décide de repasser à la déchèterie car elle ferme trop tôt le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dévore des yeux. Aujourd’hui, elle s’est habillée d’un pantalon et d’un ...